22 août 2017, 8:53

Steve Harris

• Son manoir transformé en hôtel-boutique ?


En 2012, Steve Harris mettait en vente son manoir de l’Essex, situé sur un terrain de 36 420 m2, au prix conséquent de 6,75 millions de livres – soit environ 7,31 millions d’euros. Cinq ans plus tard, il n’a toujours pas trouvé d’acquéreur et a revu ses prétention à la baisse puisque sa propriété est maintenant annoncée à 3,95 millions de livres, soit 4,3 millions d’euros et des brouettes. Le bassiste d’IRON MAIDEN reconnaît qu'il avait volontairement surévalué son bien parce qu’à l’époque, il n’était « pas vraiment sûr de vouloir s’en séparer » et juge que le prix annoncé est raisonnable.

« Dans un monde idéal, j’aimerais le transformer en hôtel-boutique et je pense que des fans de MAIDEN aimeraient s'y rendre, a-t-il expliqué à la radio suédoise Bandit Rock à l’occasion d’une interview qu’il leur a accordée. J’avais un petit bar au Portugal, l’Eddie’s Bar, qui a fermé il y a quelques années. Des gens venaient du monde entier pour y boire un verre et je pense que ce serait sans doute la même chose avec le manoir. Nous y avons enregistré plusieurs albums, dont « Fear Of The Dark », et il y a beaucoup de souvenirs en rapport avec le groupe. Je pourrais également continuer à y habiter et ça serait génial. Ce serait l’idéal… » Précisons qu'un hôtel-boutique ou boutique-hôtel, c'est un hôtel de charme qui est tout sauf stadardisé. Et si le taulier se nomme Steve Harris et la femme de chambre Charlotte… c'est palace !

En attendant que Steve ait pris sa décision, venez faire le tour du propriétaire…
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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