22 septembre 2017, 13:35

Steve Vai

• A nouveau sur scène avec Frank Zappa !


Presque vingt-cinq ans après être parti pour un monde que l’on dit meilleur, Frank Zappa sera de retour sur scène. Pas de magie vaudou là-dessous, juste une évolution technologique qui a déjà permis de faire chanter l’hologramme de Ronnie James Dio avec DIO’S DISCIPLES (ou de faire apparaître simultanément JL Mélenchon dans différentes villes à l’occasion d’un meeting, mais avouons que c’est moins rock’n’roll).

Comme pour le regretté chanteur, c’est la société Eyellusion qui jouera les Reanimator, cette fois à la demande d’Ahmet Zappa, qui, comme sa sœur Diva, détient 30% de la fortune et des droits de son génie foutraque de père et gère ses biens. L’hologramme de Zappa Sr. jouera le rôle du Central Scrutinizer (une espèce de Big Brother) dans l’opera-rock en trois actes “Joe’s Garage” qui suit les aventures d’un jeune guitariste qui veut devenir rockstar et rencontre au passage le sexe et les drogues qui complètent la trilogie.

On devrait retrouver sur scène, en chair et en os, eux, un certain nombre d’ex-membres de THE MOTHERS OF INVENTION, le “backing band” de luxe du monsieur : Ian Underwood, Denny Walley et Napoleon Murphy Brock, ainsi que quelqu’uns de ses “stunt guitarists” Steve Vai, qui n'avait que 19 ans quand Zappa le découvrit, Adrian Belew, Mike Keneally et Warren Cuccurullu, sans oublier Scott Thunes et Arthur Barrow à la basse et Vinnie Colaiuta à la batterie.

Alors que la guerre fait rage entre Ahmet et son frère Dweezil, qui jouaient tous les deux dans Z au début des années 90, Ahmet a laissé entendre qu’il aimerait le voir jouer de la guitare sur scène à côté de l’hologramme de leur père (qui est aux cieux)… Appel du pied ou pointe de sadisme ?
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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