Après que son premier album, « Puritan Masochism », ait pris d'assaut toute la scène doom et heavy metal lors de sa sortie il y a deux ans, le groupe danois de blackened death doom KONVENT, sera de retour le 11 mars avec un deuxième album chez Napalm Records et qui confirme le talent d'écriture du groupe et le son brutal et lourd qui le caractérise.
L'évolution musical et sonore de KONVENT en l'espace de deux ans est immédiatement évidente sur « Call Down The Sun », qui surprend par de nouveaux éléments à chaque écoute. Indubitablement inspiré par les périodes sombres récentes, la pandémie en cours et l'annulation des concerts, le nouvel album voit le groupe basé à Copenhague plus énervé, plus rapide et plus dark. Les grognements gutturaux et les cris féroces de Rikke Emilie List s'intègrent parfaitement au mur de riffs de blackened death et de funeral doom metal de la guitariste Sara Helena Nørregaard, soutenu par une section rythmique épaisse et profonde fournie par la bassiste Heidi Withington Brink et la batteuse Julie Simonsen.
Track-listing de « Call Down The Sun » :
01. Into The Distance
02. Sand Is King
03. In The Soot
04. Grains
05. Fatamorgana
06. Interlude
07. Never Rest
08. Pipe Dreams
09. Harena
Aujourd'hui, KONVENT a dévoilé un premier single extrait de « Call Down The Sun » ! "Grains" sera un must à entendre sur les prochaines listes de concerts du groupe - mettant en valeur sa profonde âme noire avec un soupçon de post-metal et même des éléments progressifs.
« "Grains'' parle de réaliser la répétition de schémas autodestructeurs et de ne pas savoir comment sortir de ce cycle. C'est la première chanson de KONVENT contenant des paroles en danois, car nous avions l'impression que la chanson l'exigeait. » explique la chanteuse Rikke. « Dans notre recherche d'un producteur vidéo, nous avons trouvé Martin Goltermann et nous avons rapidement partagé la même vision pour le clip : des plans atmosphériques de sable et de la mer reflétant les paroles et le voyage d'une femme aux cheveux noirs. Comme nous étions pressés, Julie, notre batteuse, a dû prendre le relais et incarner le rôle de cette femme. Après deux jours de tournage sur la côte balayée par le vent et dans le froid de notre salle de répétition, Martin a voulu sortir à nouveau avec Julie pour réaliser les dernières prises de vue. Cependant, il avait neigé pendant la nuit et il a réussi à capturer ces magnifiques clichés de Julie glissant dans le paysage hivernal. Nous avons tellement aimé que nous avons supprimé toutes les autres séquences. »