23 août 2024, 11:32

AC/DC

Le groupe de tous les records


Un peu plus d'un mois après avoir passé la barre des 26 millions de copies vendues aux USA, « Back In Black » (1980), premier album d'AC/DC avec Brian Johnson en lieu et place du regretté Bon Scott, en totalise 1 million de plus. Un véritable exploit en 2024, dû en grande partie à la réédition du back catalogue du groupe en vinyle doré pour célébrer son jubilé, mais aussi à son « POWERUP TOUR ». 

Ainsi, grâce à ce chiffre impressionnant, « Back In Black », qui était jusque-là ex-æquo avec « Hotel California » des EAGLES, devient le 3e album le plus vendu de tous les temps aux USA, derrière « Their Greatest Hits » (1976) des EAGLES (38 millions) et « Thriller » (1982) de Michael Jackson (34 millions). Côté calculs, rappelons que si "autrefois" – à l'époque où seuls existaient les albums en version physique – le statut de disque de platine récompensait 1 million de ventes pour les LP, désormais, 10 téléchargements de titre correspondent à 1 unité, alors qu'il faut 1 500 streamings audio ou vidéo pour arriver à 1 unité. C'est pas le sujet, mais c'est désespérant...

Puisque l'on parle chiffres, AC/DC a attiré 80 000 spectateurs à l'Hippodrome de Paris Longchamp (le portfolio est ici) selon Le Parisien, battant ainsi son record personnel en France de 78 000 personnes à Saint-Denis en 2010. Info à prendre au conditionnel, mais selon le quotidien, le groupe pourrait revenir en 2025 pour deux concerts au Stade de France...

Rappelons qu'une troisième et ultime vague de vinyles dorés célébrant le 50e anniversaire du groupe, « Flick Of The Switch », « Fly On The Wall », « Blow Up Your Video », « Black Ice », « Live At River Plate » et « Power Up » sera disponible vraisemblablement à partir du 27 septembre. 


​Enfin, si votre compte en banque vous le permet, peut-être reste-t-il quelques modèles de la montre AC/DC signée Frank Muller, horloger de luxe suisse. Seulement 50 exemplaires numérotés ont été créés et chacun coûte la bagatelle de 9 000 euros. Mais il paraît que quand on aime, on ne compte pas…

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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