Le principe du concours ?
Une question chaque jour, ici, à 18h30. Vous ne répondez pas tout de suite, mais attendez la dernière question, le jour de clôture le 19 octobre prochain pour nous communiquer toutes vos réponses à l'adresse suivante : concours@hardforce.fr
CE SOIR... THE MICHAEL SCHENKER GROUP
Ce nom ne vous dit peut-être plus grand chose, mais dans la première partie des années 80, il était l'incarnation du guitar-hero dans toute sa splendeur.
"Attack of The Mad Axeman", tout est dit dans le titre qui figure sur "MSG" (1981)...
Le jeu hard rock avec juste ce qu'il faut de pompeux et grandiloquent, la pose et l'accessoire (qui n'a jamais rêvé à cette époque de caler la même Flying V noire et blanche sur le dessus de sa cuisse ?), la gueule de beau gosse (bon, d'accord, on était un peu dans la catégorie Allemand blond aux yeux bleus...) et un CV classe pour avoir suffisamment de pedigree : SCORPIONS, UFO...
En solo, puisque c'est ainsi qu'il se voyait s'épanouir, Michael Schenker est malheureusement arrivé au moment où son frère cassait la baraque avec SCORPIONS.
Et être le frère de Rudolf, quand on est un Schenker dans les 80s, ce n'est pas être éclipsé, on n'existe plus vraiment.
Comme beaucoup, sa carrière est partie d'assez haut en popularité pour s'étioler en quelques années (sans doute parce qu'il ne suffisait pas d'avoir du talent et un caractère individuel fort pour tenir à la baguette un groupe stable, à commencer par maîtriser ces allers et venues pénibles de chanteurs, Gary Barden, puis Graham Bonnet, puis Gary Barden, puis...)...
Même si Michael Schenker continue aujourd'hui un parcours très personnel, disons-le confidentiel, il faut se souvenir qu'il a été à cette époque un très grand du hard rock, que ses premiers albums contiennent des joyaux du genre "Armed & Ready", "Cry For The Nations" sur le premier album (1980), mais aussi de petites perles comme "Rock My Night Away" sur "Built To Destroy" (1983)... Sans oublier un classique des classiques, son "One Night at Budokan" (1982).
Il est cité par beaucoup de guitaristes comme un modèle, mais l'histoire est injuste et la reconnaissance pas toujours proportionnelle à la légende.
QUESTION N°7 : Quelle marque automobile allemande fait les frais de la guitare de Michael Schenker sur la pochette de l'album "Built to Destroy" ?
