23 juin 2019, 23:51

HELLFEST OPEN AIR 2019

• Trois jours d'addiction positive

Allons enfants de la patriiie … du metal, le jour de gloire est arrivé… D’autant plus que c’est une très belle journée prévue en ce 1er jour de festival pour la fête de la musique à Clisson… Fraîchement arrivé la veille avec ma tribu, me voici de retour au HELLFEST, cinq ans après. Tout a changé et c’est magnifique… Que dis-je ? C’est sublime, c’est « larger than life », comme dirait Gene Simmons de KISS !

Réveil matinal avec une notification de l’appli HELLFEST : MANOWAR annule son concert. Mon fils de 9 ans pleure ! Ce n’est pas une blague ou un mauvais teaser émotionnel ! Ils se barrent et différentes raisons seront évoquées au cours de la journée. Aucun remplaçant pour le moment le matin. MASTODON est évoqué, SABATON peut-être ? Le groupe était encore présent sur le site, après avoir joué au KNOTFEST la veille, pour voir MANOWAR justement… Mystère !

Petit passage par la Temple, pas très loin du coin VIP/Presse pour voir KHAOS-DEI, groupe de black metal français qui fait le job dans le style. Le public présent est à fond et baigne dans l’homogénéité musicale sanglante du groupe. Aujourd’hui, c’est français et c’est bon. KLONE ouvre les hostilités sur la Mainstage 2 avec son rock-metal prog' de très bonne facture sous un soleil radieux. L’atmosphère injectée par le groupe est à leur image : bienveillante, mélodique, mélancolique, metallique.
Direction la crash-barrier avec Emile et Noé, mes fils. Une première pour moi depuis fort, fort longtemps. Nous allons voir les super-héros allemands du metal, GLORYHAMMER, qui vont distiller tous leurs hits heavy metal, dégainer tous les clichés les plus connus du style que nous aimons : poses, cris, metal horns, grimaces, marteau géant, SPINAL TAP-style. Ils ont des capes et font des poses démoniaques. Le bassiste boit de la bière en jouant la corde mi à vide. Ça headbange. Un très bon moment avec les X-Mens du heavy metal formés par Christopher Bowes d'ALESTORM.
Enchaînement avec les heavy glammers BLACKRAIN qui vont faire un petit best of de leur carrière avec des extraits du futur album prévu en septembre, « Dying Breed ». Le groupe est à fond, et heureux d’être là. Le public aussi. Le groupe achève son concert sur un hymne intemporel, le "We’re Not Gonna Take It" de TWISTED SISTER. Là, on peut dire que tout le monde se barre avec la banane. Suite de la French touch, LOFOFORA va atomiser le public avec son gros rock énervé et ses titres "Le Fond et la Forme", "Envie de Tuer", "Pornolitique" et "Weedo", entre autres.  

Ah oui, j’ai oublié de vous dire : SABATON jouera ce soir à la place de MANOWAR.

NO ONE IS INNOCENT va faire monter les enchères. Le public est déchaîné. Les titres sont mitraillés : "La Gloire du Marché", "Silencio", "Nomenklatura", "La Peau", "Frankenstein" et en final, un petit featuring du "Patron", comme le présente le chanteur. Niko de TAGADA JONES vient pousser la chansonnette avec le groupe sur "What The Fuck". GODSMACK et DEMONS & WIZARDS enchantent le public bien évidemment. Direction la Temple pour DIAMOND HEAD. Je ne les ai jamais vus, leur dernier album est excellent et avec certains de leurs titres popularisés par qui vous savez, j’avais vraiment envie de découvrir ça en live ! Ils jouent deux nouveaux titres en milieu de set-list "Belly Of The Beast" et "The Messenger". Bien évidemment, nous aurons droit à une fin crescendo avec "Helpless", "It’s Electric" et le "Am I Evil ?". Un beau succès. Un groupe ravi.



Pause goûter et visite du magnifique site que je ne connais pas. Je n’ai pas vu DAGOBA mais ils ont fait le job comme ils savent le faire, m’a rapporté mon épouse. Le show de DREAM THEATER est à l’image du groupe : carré, précis, organique, métabolique, scientifique, magique. Un bloc de 8 titres empruntant à différentes périodes, en insistant à 50% du set sur le dernier album en date, « Distance Over Time », avec "Untethered Angel", "Fall Into The Light", "Barstool Warrior". Le groupe clôt le concert avec "Pale Blue Dot", le dernier titre du nouvel album. L’inconscient joue. Les fans sont ravis. J’ai vu le concert sur l’écran géant du bar VIP, je l’avoue !



Batteries rechargées. Direction ULTRA VOMIT. Que nous préparent donc Fetus, Manard, Flockos et Matthieu ? On ne les arrête plus. Une tournée successful. Un OlymPutaindePia sold-out. C’est plus fort que tous les psychotropes réunis leurs concerts. L’osmose est fabuleuse. Tous leurs titres sont des hits de bonheur et ce sont de putains de sacrés musiciens.
Le groupe ouvre avec l’hymne très MOTÖRHEAD "Quand j’étais petit", Niko de TAGADA JONES revient sur "Un Chien géant", le Carlossien "Mechanical Chiwawa", le mix Calogero/GOJIRA "Calojira" et un hoax people de Calogero, justement (tout le monde a cru que c’était lui avec sa basse à gauche) sont interprétés. Un grand moment avec "Jesus" et une chorale de gospel et… Jésus qui jette des hosties métalliques dans le public. Enorme moment !
Bien sûr, on a eu droit au fameux Wall of Chiasse, des blagues de Manard (le pacte), dont sa minute et sa "Keken"… et plein de doigts métalliques. La minute Matthieu Bausson aussi avec sa Panterattitude et "Pink Pantera" avec, à la basse, l’excellent Pierre Jacou de BLACK BOMB A. Fetus & Co jouent "Boulangerie Pâtisserie" avec le jeter de viennoiseries par Jésus dans le public, de la dance-metal avec "I Like To Vomit", le hit "Je Collectionne des Canards (Vivants)" avec le gars des canards. Sortie de scène et retour pour l’hymne du camion "Kammthar" et le "Evier Metal. Un gros gros concert rempli de bonne humeur, de sueur, d’acier et de metal.



Prochain stop sous cette chaleur écrasante, MASS HYSTERIA.

Avant cela, retour au VIP pour se poser. On croise Francis Zégut et on fera avec lui une courte interview avec mes fils pour Arte sur le thème les familles metal au milieu d’extraits de concerts retransmis en différé.

Un concert spécial des MASS était prévu depuis un an. Ils nous l’ont fait comme on l’aime. Il y avait des flammes partout ("World On Fire"), c’était hot sur scène mais aussi dans le public. 13 titres empruntant aux derniers albums. Raphaël Mercier est dans une forme olympique de bûcheron de l’apocalypse. Il va défoncer sa caisse claire comme un guerrier mutant du metal qui extrait toutes les émotions négatives de son cerveau. Mouss est transporté par sa poésie urbaine pour "Reprendre mes Esprits". Le groupe est "Positif à Bloc". "Vae Soli", "Nerf de Bœuf", "Se Brûler Sûrement", "Tout est Poison" sont un carnage. Yann et Fred haranguent la foule, Jamie tabasse sa basse. Pensée aux victimes des attentats avec "L’Enfer des Dieux". L’hymne du Hellfest est joué… "Plus que du Metal" et clap de fin avec "Furia". Un énorme concert filmé pour une future sortie… C’était F.U.R.I.E.U.X.

Bon, maintenant c’est au tour de SABATON avec sa scénographie guerrière. Les Suédois remplacent au pied levé « les guerriers has been en slip fourrure1984 » (entendu dans la fosse). Ils sortiront prochainement un album intitulé « The Great War » et sont en tournée pour le défendre. Tout démarre de façon épique et warrior avec "Ghost Division", "Winged Hussars", "Resist And Bite". Ça va être un bon show power metal. Malheureusement, Joakim Broden, le chanteur, va avoir « la voix niquée » (traduction intégrale) après ces 3 titres et impossible pour lui de chanter. Donc plan B : les guitaristes, Chris Rorland et Tommy Johansson, vont se partager le reste de la set-list. Antisèches scotchées au sol pour les lyrics. Le concert est beau mais ça ne le fera pas malgré toute la générosité du groupe.



GOJIRA, derrière, enfonce le clou du spectacle, de la journée frenchie, de la journée tout court. Une énorme future tête d’affiche, un spectacle somptueux, fort, puissant, violent, mélodique, magnifique. Le groupe puise dans son sublime catalogue « Magma » (THE album pour moi), « The Way Of All Flesh », « From Mars To Sirius »… Les lights, les projections sont grandioses. Solo de batterie après le première rappel. On aura droit à un second rappel avec "Vacuity" et "The Gift Of Guilt".

Une première journée énormissime dans ce parc d’attraction du metal à Clisson.

Réveil sous le soleil pour ce 2ème jour. On entend la musique qui vient du centre Leclerc, le Off, du jardin où l’on prend le petit-déjeuner. Today is a very good day. Une journée de folie nous attend. Arrivée sur le site. Passage par la Temple pour voir les deux derniers titres de WOLFHEART, du death metal mélodique de la part des Finlandais fondés en 2013 par Tuomas Saukkonen. Je suis agréablement surpris. Je rencontre quelques amis fans de SATAN JOKERS. Commence le concert de TREPALIUM à l’Altar. C’est puisssant comme il faut. Les Frenchies sont vraiment bons.

Direction la Mainstage 1 pour voir Richie Kotzen. Le guitariste chanteur va nous envoyer un spectacle tout en sobriété, en hard blues, sur une scène nue comme dans un club. Le backdrop porte son nom. Il enchaîne les titres, sa section rythmique est super efficace. Un bon moment ! Retour à la zone presse où je croise Fetus et Matthieu d'ULTRA VOMIT, heureux de leur prestation ; Pierre Jacou et Poun de BLACK BOMB A, Tonton Zégut qui couvre le festival, Chris Holmes (ex-W.A.S.P.), Fred Leclercq (DRAGONFORCE, SINSAENUM), Raphaël Mercier et Yann Heurtaux (MASS HYSTERIA). On parle de musique, d’addiction, de projets, du festival, de leurs prestations et des futurs concerts de la journée !



Retour sur la Mainstage 1 pour voir DEADLAND RITUAL, le super groupe avec Steve Stevens, Geezer Butler (BLACK SABBATH), Matt Sorum et Franky Perez (APOCALYPTICA). Leur set-list est constituée de 3 titres de BLACK SABBATH ("Symptoms Of The Universe", "Neon Knights", "War Pigs"), un de Billy Idol ("Rebel Yell"), de VELVET REVOLVER ("Slither") et 4 originaux dont "Broken and Bruised" et "Down In Flames" accessibles sur les plateformes de streaming. Le public est conquis et heureux d’entendre des reprises jouées par leurs compositeurs respectifs.

Les EAGLES OF DEATH METAL prennent le relais. Ils vont distiller du bon rock bien énervé. Jesse Hughes s’est laissé pousser les cheveux, a son badge avec le logo rappelant l’attentat du Bataclan, joue et chante comme s'il était possédé. Il balance des « motherfuckers » et des « i love you » entre les chansons. Il descend dans le public avec sa guitare. Il y a eu une reprise de Bowie et l’intro de "Ace Of Spades" de MOTÖRHEAD jouée par sa jolie bassiste et son batteur. Un concert énergique sous une soleil d’acier !

C’est au tour de WHITESNAKE maintenant. David Coverdale, son lieutenant Reb Beach à la guitare, secondé par Joel Hoekstra et le groupe vont nous délivrer un concert de très très haut niveau. Coverdale est en voix, même s’il ne la pousse plus comme avant et se fait aider par les deux guitaristes, Michele Luppi, le claviériste, et Michael Devin, le bassiste. Le Serpent Blanc nous sert un best of avec des extraits de « 1987 », « Slide It In » et du petit dernier, « Flesh And Blood ». On aurait pu se passer des démonstrations techniques de Reb Beach et de Joel Hoekstra (qui jouent très bien, on le sait) et du solo de batterie tribal de Tommy Aldridge (on le connaît par cœur. Au passage, son kit de batterie est sublime). Le final est apocalyptique avec "Here I Go Again" et "Still Of The Night". Le groupe est ovationné. Coverdale lève son verre de vin blanc à notre santé.



WITHIN TEMPTATION est là et embraye directement derrière. Sharon den Adel et son groupe sont en terrain conquis. Leur metal symphonique ravit tous les fans présents. Sharon fait le show, multiplie les messages d’amour envers son public. Pour ce "Resist Tour", les Néerlandais ont ouvert avec "Raise Your Banner", issu du dernier album, et termine sur "Mother Earth". Succès garanti.

DEF LEPPARD revient au Hellfest après six ans. Ils avaient joué tout l’album « Hysteria ». Ce soir, ils vont nous interpréter des chansons toutes grosses périodes confondues. La triade "Rocket" / "Animal" / "Let It Go" est envoyée. Phil Collen et Vivian Campbell, les guitaristes, sont en forme olympique. Joe Elliott est en voix. Il y aura des ballades comme "When Love And Hate Collide", la session acoustique avec "Two Steps Behind", le chanteur à la guitare, "Love Bites" et "Hysteria".
Gros moments bourrés d’énergie et de hard rock classique avec les hits de l’album « Hysteria » : "Armageddon It", "Pour Some Sugar On Me". L’instrumental "Switch 625" avec Collen à l’Explorer est interprétée. "Rock Of Ages" et "Photograph" finissent le show et, surtout, font plaisir aux fans des années 1980 ! Rick Allen est toujours aussi touchant avec son jeu millimétré de batterie. Il forme un duo rythmique osmotique avec Rick Savage à la basse. Super groupe !



Après une conférence de presse à 18h, Billy Gibbons de ZZ TOP monte sur scène avec ses acolytes pour cette tournée des 50 ans du groupe. En configuration restreinte sur la grande scène, les barbus vont nous faire la synthèse de leur carrière pour le plus grand plaisir de tous et de toutes : du blues, du rock, du hard blues, des hits de l’époque « Eliminator ». Un bon moment, une bonne pause avant l’arrivée de KISS. Plus de 60 000 personnes sont présentes ce samedi sur tout le site.

KISS est venu avec une grosse partie de sa prod' scénique pour le "End Of The Road Tour". Les quatre musiciens vont nous offrir plus de 2 heures de show, une pyro qui doit valoir l’équivalent de l’ensemble des groupes réunis sur 48 heures, des lights, des vidéos somptueuses. « All Right Clissone (dans le texte), you want the best, you got the best… KISS ! ». Le rideau tombe. Gene, Paul et Tommy descendent de leurs plateformes en jouant "Detroit Rock City". Paul est en voix (c’était la crainte de tout le monde).
KISS enchaine avec un "Shout It Out Loud". Gene envoie "Deuce". Paul demande si on veut un peu de l’album « Sonic Boom » et fait chanter le public avec les mots "say" et "yeah" pour le titre du même nom qui passe bien dans la set-list. C’est au tour du titre qui a changé ma vie : "I Love It Loud" et ses « oooohhoooo yeah ». Petit extrait d’« Animalize » avec le "Heaven’s On Fire" interprété un peu plus bas que d’habitude. Gene Simmons va cracher du feu sur le heavy "War Machine". Stanley envoie "Lick It Up". Mon hymne, "Calling Dr. Love" (en rapport à ma profession), est brillant. Eric Singer va y aller de son solo sur le titre de la fin des 70's "100,000 Years" comme à la grande époque avec Peter Criss, mais avec plus de technique.

Tommy Thayer va faire son solo à la Frehley avec sa guitare fusil sur "Cold Gin". Lumière noire, éclairage vert, sons de basse démoniaques, le Démon est là. Il crache son hémoglobine, monte dans le ciel. C’est le "God Of Thunder". « Nous sommes des animaux, la vie est un cirque », nous dit Stanley. "Psycho Circus" retentit dans le Pays de la Loire. Ce soir, c’est l’apothéose rock'n'roll. Le Starchild nous demande si on qu’il rejoigne la foule. Il se laisse désirer. "Love Gun" démarre, Stanley part sur sa tyrolienne vers la petite scène au milieu de la foule. Ça joue mais l’attention est focalisée sur Stanley. Il est acclamé. « On va vous jouer un classique », il fredonne la mélodie de "I Was Made For Lovin’ You". Le public est en délire, en tout cas dans les premiers rangs et toute la fosse. Paul revient sur la scène principale avant la fin de la chanson, joue les arpèges de "Black Diamond" et Singer chante.
Le groupe sort de scène. On va avoir droit à 3 chansons en rappel. Eric Singer joue seul derrière un piano à queue "Beth". Super version. Le groupe revient jouer "Crazy Nights" avec un lancer de ballons blancs et noirs KISS. Final absolu avec "Rock And Roll All Nite", une guitare cassée, une explosion de cotillons et un feu d’artifices de folie. C’était... le feu !

ARCHITECTS commence en retard sur la scène adjacente. Passage par le VIP pour se rafraîchir et parler avec des amis. Un samedi pas comme les autres. Dingue ! La fièvre du samedi soir. Retour à la maison vers 2h30.



Le 3e jour, c’est la journée thrash US. MUNICIPAL WASTE met la misère sur la Mainstage 2. Pour un grand fan de classic hard rock comme moi, le réveil était calé avant le show de TESLA. Scène dépouillée sur la Mainstage 1. Il fait chaud, très chaud. Concert à la crash barrier. Le groupe s’installe. Troy Luccketta à la batterie et Brian Wheat à la basse, les guitaristes Frank Hannon avec sa SG et Dave Rude sa flying V blanche envoient "Cumin’ Atcha Live".
La voix caractéristique de Jeff Keith retentit. Ça fait du bien et c’est enchaîné au heavy rock "Modern Day Cowboy" avec ses power chords bien 80's. Un petit "Miles Away" ensuite. Les guitares acoustiques sont de sortie pour l’intro de "Love Song". Un extrait du dernier album « Shock », produit par Phil Collen de DEF LEPPARD, "Taste Like" avec ses relents d'AC/DC est joué. Final avec la reprise "Little Suzi" et "Signs". Un super concert et c’est vraiment cool de voir TESLA en France !



J’ai eu la chance d’avoir accès au VIP+, grâce à mes amis du Metal Social Club, et donc de voir de la terrasse une partie du concert de DEATH ANGEL. De vrais assassins de la Bay Area. Passage au metal market (clin-d’œil à Hangar 18 et Valérie Muller), au merchandising des artistes (tout KISS presque) pour remplir les valises.
Il me faut malheureusement partir suffisamment tôt pour des raisons professionnelles (jury d’examen le lendemain à 8h à Paris). En vrac, passage en zone presse, moments sympas avec les amis et connaissances : Pierre Jacou, Maxime Chattam, Manard.

TRIVIUM avait prévu de faire monter sur le côté de la scène des enfants entre 6 et 15 ans, TESTAMENT en préparation d’un nouvel album met un feu un peu court au Hellfest. Dans le TGV du retour, mon addiction positive me fait voir l’intégralité des fabuleux concert d’ANTHRAX et de LYNYRD SKYNYRD. Je sais, j’ai raté SLAYER et TOOL. Mais c’était E.N.O.R.M.E !

Retour à la maison, la tribu et moi, avec plein de supers souvenirs dans la tête, un nombre de pas très nettement supérieur à ce qui est prévu par jour. Un super accueil, une super organisation. On s'est bien restaurés, bien bu, vu un maximum de monde. Vivement 2020 !

Blogger : Laurent Karila
Au sujet de l'auteur
Laurent Karila
Psychiatre spécialisé dans les addictions, Laurent Karila a collaboré à Hard Force de 2014 à 2023.
Ses autres publications

1 commentaire

User
Jean-Baptiste "Jibe" Quentin
le 02 juil. 2019 à 19:26
Laurent bien content de t’avoir croisé samedi après-midi... belle synthèse de ce Hellfest 2019 ! Merci. Tu aurais dû prendre un peu de temps pour découvrir Eisbrecher... vraiment énorme ! Ma découverte... jb
Merci de vous identifier pour commenter
Cookies et autres traceurs

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies ou autres traceurs pour mémoriser vos recherches ou pour réaliser des statistiques de visites.
En savoir plus sur les cookies : mentions légales

OK