Ce concert un peu spécial pour moi puisque j’ai appris que j’y participerais juste une heure avant qu’il ne commence, en arrivant devant le Trabendo. Il s’agissait donc là d’une surprise monté de toute pièce par mon compagnon et HARD FORCE pour mon anniversaire (merciiiiii !). J’avais vu la date sur les réseaux sociaux depuis un moment et je m’étais fait à l’idée de devoir rester chez moi ce soir-là, mais il n’en fût rien.
Arrivée donc devant le Trabendo, j’attendais de pouvoir entrer dans la salle pour aller récupérer mon accréditation. L’ouverture des portes était à 19h si je me souviens bien.
Première fois que j’assistais à un concert dans cette salle, et la scène m’a parue bien basse. Les barrières étaient très proches de la scène, on s’est un peu marchés dessus pour aller d’un bout à l’autre du pit-photo.
La première partie de la soirée n’est autre qu'un groupe local DEEP IN HATE. Comme prévu, le quintet prend place sur scène vers 19h40, et c’est parti pour une heure de boucherie. Le brutal Deathcore technique des Parisiens est efficace, bien que le son fût un peu brouillon au début du set. Le public se décoince un peu et pogote timidement. Malgré tout, DEEP IN HATE nous sort une set-list bien fournie, avec des morceaux de son dernier album en date : « Origins Of Inequality », un solo de batterie de Mr Bastos, et un titre du prochain album, qui d’après Math, « sortoura » l’an prochain.
Ravie de leur prestation, je m’assois et attends DEVILDRIVER. La pause n’aura duré qu’une vingtaine de minutes, juste le temps de boire un verre, de discuter avec Monsieur et c’est reparti !...
Set-list DEEP IN HATE :
Sands Of Time / Unworthy Species / Legions Of The Weak / Origins Of Inequality / "Nouvelle chanson à paraître sur le prochain album" / Solo de batterie / Seven Days Of The Talion / Lobotomizing The Masses / Virtual Supremacy / From Above The Anthill
Les lumières s’éteignent pour laisser place à la tête d’affiche. Le groupe arrive sur scène, avec Chris Towning, le nouveau bassiste. Arrive enfin le frontman du groupe : Dez Fafara.
Le show commence avec « End Of The Line » qui met déjà bien l’ambiance. Les Californiens nous servent un mélange de ses cinq albums avec évidemment « Ruthless » et « The Appetite », extraits du nouel album (paru fin août).
Sur scène, ça bouge autant que dans le public, et j’ai un peu du mal à suivre les gars pendant les trois premiers morceaux autorisés. La lumière en contre-jour n’arrangera pas beaucoup les choses. Je n’en suis pas moins contente, puisque j’ai pu réentendre en live mes morceaux préférés : « I Could Care Less », « These Fighting Words » et « Clouds Over California ».
Le concert se termine, le groupe salue chaleureusement le public, je remonte faire un tour devant le merchandising pour aller chercher une affiche et discuter quelques minutes avec Bastos... et me voilà repartie vers ma contrée lointaine qu’est la Picardie, en quête d’un endroit pour me restaurer (l’ouverture des portes étant à 19h, je n’avais rien dans l'estomac donc, après l’effort, le réconfort !)
Set-list DEVILDRIVER :
End Of The Line / Cry For Me Sky (Eulogy Of The Scorned) / Dead To Rights / Ruthless / These Fighting Words / It’s In The Cards / Not All Who Wander Are Lost / The Appetite / Before The Hangman's Noose / I Could Care Less / Head On To Heartache (Let Them Rot) / Clouds Over California / Hold Back The Day / Meet The Wretched
