2 août 2017, 10:22

Stephen King

• Fan de metal


Stephen King n’a jamais caché sa passion pour la musique et le hard rock. On se souvient en effet (enfin nous oui, vous, on ne sait pas) que c’est l’album « Who Made Who » d’AC/DC qui, en 1986, servit de bande originale à Maximum Overdrive, son adaptation au cinéma de “Trucks/Poids Lourds”, une nouvelle du recueil Nightshift/Danse Macabre.

L'écrivain, à qui l’on doit des chefs-d’œuvre du fantastique comme Simetierre, Ça, Shining ou 22/11/63 pour ne citer qu’eux, parsème à l’occasion ses histoires de quelques références musicales, joue de la guitare dans un groupe et n’a jamais caché qu’il était fan d’ANTHRAX, JUDAS et METALLICA. C’est lui qui a choisi “Don’t Fear The Reaper” de BLUE ÖYSTER CULT que l’on entend au début de l’adaptation du Fléau, et il a d’ailleurs enregistré un texte que l’on peut entendre au début de la vidéo d’une version réenregistrée d’“Astronomy” de BÖC.

Nouvelle preuve de l’intérêt qu’il porte au metal (même s’il semblerait qu’il ne soit pas très pointu en dénomination de genre), les messages qu’il a postés récemment sur sa page Facebook, où l'on voit également ce grand fan des RAMONES en compagnie de RANCID.

« Je viens de m’apercevoir que certains chanteurs de mes groupes de death metal préférés me font penser à Donald Duck quand il pique une crise… Quelqu’un devrait ajouter sa voix à “Voices Of Pain” ou “Bullet Thru My Head” de THE HATRED. Moi, je ne sais pas le faire… Ou à “Mouth For War” de PANTERA. ».

 


AC/DC : "Who Made Who"
 


Deux nouvelles adaptations de romans de King arriveront très bientôt sur grand écran :
La Tour sombre, le 9 août…
 


…et Ça, le 20 septembre
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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