20 novembre 2018, 20:28

BAD RELIGION

• Nouveau single


Des news de Los Angeles, BAD RELIGION est (enfin) de retour. Voilà 5 ans que nous n’avons pas eu des nouvelles des apôtres du punk-hardcore californien, depuis l’excellent « True North » paru en 2013. Les fans seront ravis d’apprendre qu’un nouvel album se profile à l’horizon. Brett Graffin et son gang de retour ? Je dis oui !

Après le clip "The Kids Are Alt-Right" publié le 20 juin 2018, nos sociologues toujours engagés et enragés ont déboulé depuis avec deux nouveaux extraits : "The Profane Rights Of Man" et "My Sanity".

Vous l’avez compris, le single "The Profane Rights Of Man" est basé sur le document datant de 1789 intitulé The Universal Rights of Man (Les Droits Universels de l’Homme). Le titre montre l’inquiétude de BAD RELIGION vis-à-vis de la politique liberticide du président actuel des Etats-Unis d’Amérique.

Plus de détails prochainement sur la sortie de l’album, le groupe promet qu’il sera rempli de chansons anti-Trump. Mais de ça, en doutions-nous ?

"My Sanity", paru le 14 novembre, est tout autant explicit avec son « sometimes there's no sane reason for optimism » à écouter ci-dessous.


Blogger : Christophe Scottez
Au sujet de l'auteur
Christophe Scottez
Chris est ethnologue à ses heures perdues, vétéran des pogo joyeux en maillots de core. Un explorateur curieux, grand amateur de riffs et de chants sauvages. Il a grandi dans les glorieuses années 80, bercé par les morceaux canoniques d’ACCEPT, SCORPIONS, MOTLEY CRUE et autres GUNS N ROSES. Traumatisé par le divorce entre Max Cavalera et son groupe, ainsi que par un album des Mets un peu «chargé» en n’importe quoi, Chris a tourné 10 ans le dos au hard rock. Puis, un jour, il a par hasard découvert qu’une multitude de nouveaux groupes avait envahi la scène … ces nouveaux sauvages offraient des sons intéressants, chargés en énergie. Désireux de partager l’émo-tion de ce style de metal sans la prétention à s’ériger en gardien d’un quelconque dogme, il aime à parler de styles de metal dit classiques, mais aussi de metalcore et de néo-metal. Des styles souvent décriés pour leurs looks de minets, alors que l’importance d’un album est d’abord le plaisir sonore que l’on peut en tirer, la différence est la richesse du goût. Mais surtout, peut-on se moquer de rebelles coquets alors que les pères fondateurs du metal enfilaient des leggins rose bonbon et pouponnaient leurs choucroutes peroxydées ?
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