26 avril 2014, 21:19

TAGADA JONES + A VERY SAD STORY @ Pagney-derrière-Barrine ( Chez Paulette )

C'est pour leurs 20 ans de carrière ainsi que la tournée de leur nouvel album « Dissident » que les bretons TAGADA JONES ont fait une halte "Chez Paulette" ce samedi.

Et c'est A VERY SAD STORY, un groupe de stoner metal de la région qui ouvre les hostilités avec un son lourd et agressif inspiré de groupes tels que DOWN ou BLACK LABEL SOCIETY.
Une première partie avec du gros son et des riffs certes moins énergiques que ceux de TAGADA JONES, mais qui malgré tout chauffera un public éclectique déjà impatient de voir la deuxième partie de soirée.

Un courte pause, installation de la scène pour TAGADA JONES, changement de batterie, mise en place d'une sorte de panneaux lumineux… Pour un show qui commence par un enregistrement de bruitages et extraits de paroles relatant de tragédies de ces dernières décennies (39/45, la guerre d'Algérie, du Vietnam, destruction du World Trade Center… ), une introduction sur un ton de destruction...

Les TAGADA JONES prennent place dans l'ombre, et ça y est, c'est parti ! Ils commencent leur set avec « De l'Amour et du Sang », et un public déjà à fond dès le premier morceau. Ils enchaînent : « Instinct Sauvage », « Le Chaos ». Un petit mot de Niko, le chanteur, et suivent « Yec'hed Mad », « Pavillon Noir »... sans pratiquement laisser de répit à un public qui est toujours autant excité, si ce n'est plus, alternant pogo et slam sans aucune interruption et cela pendant toute la durée du show. avec « Descente aux Enfers », « Vendetta », « Dissident » entre autres, avant de terminer sur « Karim et Juliette », sorte d'hommage à l'une de leurs inspirations principales : les BERURIERS NOIRS.

Entre punk et rock, metal et protestations, TAGADA JONES auront été ce soir les dissidents pour que Chez Paulette chacun ait pu trouver son compte, musicalement parlant !

Blogger : Ariane Battaïni
Au sujet de l'auteur
Ariane Battaïni
Photographe de Nancy, fan de heavy metal, une passion forgée, comme pour beaucoup parce qu'elle a pu en entendre, enfant, à la maison. Une affection pour le genre accentué à l'adolescence, à l'époque où le Sonisphère offre des concerts de légende dans sa région natale. Toujours au premier rang, à l'affût de gros concerts, mais aussi de la scène locale, c'est grâce à HARD FORCE qu'elle peut enfin passer de l'autre côté de la barrière en 2012 avec son appareil photo, un rêve. L'aventure débute avec un concert de Molly Hatchet dans la notable salle de concert Chez Paulette, à seulement 18 ans. Une chance de mixer ses deux passions, une envie toujours aussi présente.
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