9 avril 2018, 20:00

ROSS THE BOSS

• "By Blood Sworn", le nouvel album


Ross The Boss is back ! Ross Friedman, qui quitta MANOWAR à l’apogée du groupe en 1988 après avoir délivré de puissants riffs guerriers sur des disques mémorables tels que « Kings Of Metal », est donc de retour. Notre homme a fondé son groupe, le bien nommé ROSS THE BOSS, en 2008. Nouveau nom, même credo, Ross nous fait du metal chains and leather.

Voici que pointe le nez d'un troisième album, « By Blood Sworn », à paraître le 20 avril chez AFM Records, huit ans après « Hailstorm ».

Deux extraits sont déjà disponibles et nous espérons du heavy metal qui frappe fort et on prend son mal en patience avec cette première vidéo qui fracasse son drakkar, "By Blood Sworn", à voir ci-dessous.

La tracklist de « By Blood Sworn » est la suivante :

01. By Blood Sworn
02. Among the Bones
03. This Is Vengeance
04. We Are the Night
05. Faith of the Fallen
06. Devil's Day
07. Lilith
08. Play Among the Godz
09. Circle of Damnation
10. Fistful of Hate
 

Blogger : Christophe Scottez
Au sujet de l'auteur
Christophe Scottez
Chris est ethnologue à ses heures perdues, vétéran des pogo joyeux en maillots de core. Un explorateur curieux, grand amateur de riffs et de chants sauvages. Il a grandi dans les glorieuses années 80, bercé par les morceaux canoniques d’ACCEPT, SCORPIONS, MOTLEY CRUE et autres GUNS N ROSES. Traumatisé par le divorce entre Max Cavalera et son groupe, ainsi que par un album des Mets un peu «chargé» en n’importe quoi, Chris a tourné 10 ans le dos au hard rock. Puis, un jour, il a par hasard découvert qu’une multitude de nouveaux groupes avait envahi la scène … ces nouveaux sauvages offraient des sons intéressants, chargés en énergie. Désireux de partager l’émo-tion de ce style de metal sans la prétention à s’ériger en gardien d’un quelconque dogme, il aime à parler de styles de metal dit classiques, mais aussi de metalcore et de néo-metal. Des styles souvent décriés pour leurs looks de minets, alors que l’importance d’un album est d’abord le plaisir sonore que l’on peut en tirer, la différence est la richesse du goût. Mais surtout, peut-on se moquer de rebelles coquets alors que les pères fondateurs du metal enfilaient des leggins rose bonbon et pouponnaient leurs choucroutes peroxydées ?
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