28 mai 2018, 9:17

WTF ??! #44

• Vu sur le Net


Le web regorge de vidéos – et d'images – étonnantes, embarrassantes, absurdes… Comme tous les lundis, en voici une petite sélection.


If you have GhostCertains n’ont pas oublié une courte vidéo postée l’été dernier de James Hetfield surpris en plein air drumming pendant un concert de GHOST (séquence rattrapage un peu plus bas). Au QG de METALLICA, il y est allé d’un petit coup de “Cirice”, pas si facile que ça à jouer... Voilà qui enfonce le clou (comme on dit chez les Chrétiens)…
 


L’original…


A Toronto en plein air drumming


Pelle, pelle, pelle comme le jour. Une pelle, trois cordes, un bottle-neck et Justin Johnson, un guitariste ricain, vous fait “Ace Of Spades” de MOTÖRHEAD. C'est beau, un mec bricoleur. Surtout quand il est musicien.
 


L’original…


Complètement cintré. Après avoir repris “Frantic” de METALLICA avec un couvercle de poubelle en guise de caisse claire, puis lui avoir substitué un wok pour une cover de “Walk” de PANTERA, Cameron Fleury, YouTuber adepte de jeux de mots un peu pourris, a décidé de jouer “Hangar 18” de MEGADETH avec des cintres en bois (“coat hangers” dans la langue de Mustaine)…
 


L’original


(Bugger) Quizz. La dernière fois que l’on a parlé de Samus “66Samus” Paulicelli de DECREPIT BIRTH dans WTF ??!, en janvier dernier, il avait troqué ses baguettes contre deux sex toys (joindre l’utile à l’agréable, ou l’inverse ?) pour une reprise d'“Enter Sandman” de METALLICA. Depuis, il a retrouvé ses bonnes vieilles Vic Firth et interprète 19 morceaux, pas forcément metal. En n'écoutant que la batterie, sauras-tu les reconnaître, ami internaute ? Pas évident…
 


My own (cruel) summer. En 2015, DEATH VALLEY HIGH, un groupe de metal industrialisant de la Bay Area, invite Chino Moreno à enregistrer une cover de “Cruel Summer” de BANANARAMA. Trois blondinettes qui, dans les années 80, ont donné envie à certains de manger la banane par les deux bouts tout en cartonnant dans les charts. L’EP de reprises sur lequel elle devait figurer n’est finalement jamais sorti, jusqu’à ce que Methodic Artists, management qui compte le chanteur de DEFTONES ou encore PUSCIFER dans son roster, ne la mette en ligne. Un “Cruel Summer” bien éloigné de l’original, aussi dark que le “Imagine” de Lennon plombé de A PERFECT CIRCLE.

Pas de vidéo, juste un lien audio à découvrir ici.
 


Chino Moreno © Axelle Quétier//HARD FORCE


L’original, so 80's…
 


The serenity of suffering ? Si la privation sensorielle peut être utilisée comme thérapie, c’est aussi une forme de torture. Elle consiste à réduire au maximum les perceptions sensorielles d’un individu – privation de l’audition avec un casque, de la vue avec un bandeau, du toucher et de l’odorat, isolation des contacts humains et de toute stimulation extérieure. A court terme, le sujet devient fou. Loin de Jonathan Davis l’idée de torturer ses fans, il a simplement proposé à 20 d’entre eux de participer au Protocole Ganzfeld, utilisé en parapsychologie pour étudier les perceptions extra-sensorielles et plus particulièrement la télépathie. Une version “light”, avec demi-balle de ping-pong sur les yeux et casque antibruit qui finit par causer des hallucinations. C’est apparemment comme ça qu’est né « Black Labyrinth », son nouvel album solo sorti le 25 mai, et le concept de la vidéo du beau “Basic Needs”
 


Si tu vas à Rio Seattle… Le Edgewater Hotel, un hôtel de la cité émeraude, propose désormais une luxueuse suite PEARL JAM. Design grungy, authentiques affiches arty du groupe, fan art, tourne-disque avec toute la discographie en vinyl des enfants du pays, guitare électro-acoustique et ampli, il y a tout ce qu'il faut pour se prendre pour Eddie Vedder. Au mois d’août, 10 % du prix de la nuitée seront reversés à une association qui vient en aide aux SDF de la ville. Précision : une nuit coûte quand même la bagatelle de 1 849 dollars (environ 1 586 euros). Mais les chiens sont acceptés. La visite sur le site de l'hôtel, elle, est gratuite.
 


Metal meme. Ou la preuve par deux que SLAYER, ça fait du bien par où ça passe…
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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