24 septembre 2018, 20:28

WTF ??! #60

• What The Fuck ??! Vu sur le Net


Le web regorge de vidéos – et d'images – étonnantes, embarrassantes, absurdes… Comme tous les lundis, en voici une petite sélection.


Histoire de famille. Trois frères, deux sœurs et la même passion pour le metal. LILIAC, un groupe de jeunes Californiens spécialisés dans les covers, bien qu’ils aient aussi un répertoire perso, reprend ici “The Trooper” d’IRON MAIDEN. Un gros up à Melody, la bassiste/chanteuse, dont le grain de voix fait penser à un croisement entre Bruce D. et Paul Di'…
 


Battle. Gus G. (FIREWIND et ex-Ozzy) a défié Nita Strauss (ALICE COOPER, THE IRON MAIDENS) à l’occasion d’un “riff challenge”…
 


Pub. Quand Adam&EveDDB, une agence publicitaire britannique, signe un spot pour les magasins John Lewis & Waitrose, c’est un hommage à QUEEN de haute volée…
 


Homme-orchestre. Sans doute Dominic Fragman, YouTuber de son état, en a-t-il eu marre de ne pas trouver de musiciens dignes de ce nom pour former un groupe de reprises. Alors partant du principe que l'on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, il s'est débrouillé tout seul et ne se contente pas de (bien) chanter “Tom Sawyer” de RUSH : il le joue aussi à la batterie et à la guitare… SIMULTANÉMENT.
 

L’original…


Hélico. Un mur (et un sol) à peindre et pas de pinceau ? Une simple formalité si vous avez les cheveux longs et que vous maîtrisez l’art difficile de l'hélicoptère avec la tête. Jackon Pollock, peintre de l’expressionnisme abstrait, peut aller se rhabiller (il n'est plus de ce monde, c'est juste une image). Reste à savoir comment ces aimables bricoleurs/artistes ont fait pour récupérer leurs cheveux si c’était bien de la peinture…
 


Metal Goddesses. Chez les groupes de reprises 100 % féminins, on connaissait déjà THE IRON MAIDENS (je vous fais pas un dessin) ou COWGIRLS FROM HELL (PANTERA) pour ne citer qu’eux. Il y a aussi JUDAS PRIESTESS, formation new-yorkaise en activité depuis déjà neuf ans. Les musiciennes ont partagé l’affiche avec divers groupes et ont même vu John Petrucci de DREAM THEATER les rejoindre sur scène pour “Beyond The Realms Of Death”…
 

L’original version live en 2005…


Dans la peau. « Les employés doivent se scarifier SLAYER sur l’avant-bras avant de retourner travailler » peut-on lire dans un burrito shop de New Beford dans le Massachusetts au-dessus du plus traditionnel : « Les employées doivent se laver les mains »… Un clin d’œil au fan (Michael Meyers de son vrai nom, comme le tueur d’Halloween, ça ne s’invente pas) qui, en 1994, s’était fait graver au scalpel le logo du groupe sur l’avant-bras. Des images reprises dans la VHS de « Live Intrusion » en 1995 que l'on retrouve ci-dessous. Do not try this at home, kids…
 


 


Enchères. Si vous voulez faire main basse (humour) sur l’une des dernières Fender Precision Steve Harris Signature de 2015, dédicacée par le maestro à l'occasion de la récente tournée “Legacy Of The Beast”, il vous reste quatre jours (pour braquer une banque ou casser votre PEL). Rendez-vous sur Givergy où un modèle est disponible aux enchères. Au moment d’écrire ces lignes, elle chiffrait à 3 025 livres sterling (environ 3 360 euros). La recette sera intégralement reversée à Heavy Metal Truants, une association britannique qui œuvre pour le mieux-être des enfants et des adolescents.
 


Say you’ll haunt me. Du 5 au 31 octobre, la Slaughterhouse Haunted Attraction, la "maison hantée n°1" de l’Iowa, présentera une exposition de souvenirs en rapport avec SLIPKNOT. Un meet & greet avec les musiciens est également au programme. Contrairement à ce que pourrait le laisser penser le visuel, on ne demandera pas aux fans de “faire le cochon” pour pouvoir entrer… On respire pour eux.
 


LOL. Tous les lundis, Rob Halford se lâche en arborant un T-shirt qui pique les yeux…
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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