6 septembre 2019, 8:42

METALLICA

• Les médiators uniques de James Hetfield


Il ne suffit pas de développer une technique du poignet droit qui lui est propre depuis près de 40 ans (essayez de tenir ne serait-ce qu'une minute en down picking uniquement comme il le fait pour vous rendre compte de la difficulté), encore faut-il avoir les armes pour être le "riff master" que l’on connait.

Alors qu’une version black existait, sort aujourd’hui le modèle White Fang (Croc-Blanc) des médiators Dunlop qu’utilise le guitariste-chanteur de METALLICA, James Hetfield. Cela intéressera principalement, on en convient, les guitaristes en herbe ou confirmés mais il est toujours intéressant pour les non-musiciens d’avoir un aperçu des petites choses qui font tout. Ici, en l’occurrence, le fait que la dureté du médiator concerné soit 1.14 alors que la majorité des guitaristes utilise du 1.0 (la photo ci-dessous montre des modèle 1.0 car le 1.14 n'est pas disponible à la vente et réservé à James), ce qui est déjà suffisant pour attaquer correctement les cordes et « envoyer le bouzin » comme on dit.
Sauf que lorsque l’on doit dérouler "Ride The Lightning", "Master Of Puppets" ou autres cultissimes titres thrash, il est impératif d’être au-dessus du lot. On ne va pas au feu avec un fusil à bouchon et James Hetfield est bien au fait de cela. « Oh Yeah?! ».
 


Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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