20 novembre 2020, 8:15

IRON MAIDEN

• Live after live...


​40 ans de carrière discographique auront permis à l’un des plus grands groupes de heavy metal au monde de donner plusieurs centaines de concerts, parcourant les quatre coins du globe sur terre, sur mer et dans les airs, se lançant à la poursuite, non pas de Fantomas, mais de sa propre quête du feu. IRON MAIDEN n’a donc pas lésiné sur le nombre de supports discographiques live à destination de ses fans. Afin de célébrer la sortie de « Nights Of The Dead – Live In Mexico City » enregistré lors de la tournée “Legacy Of The Beast World Tour”, qui repassera normalement le 11 juillet 2021 dans la plus grande salle indoor européenne de Paris-La Défense Arena située à La Défense, nous allons faire un petit tour d’horizon de tous ces témoignages en concert gravés sur cire, plastique et bandes vidéo au cours des quatre décennies écoulées, afin d’en pointer les moments forts et d’aiguiller le néophyte qui souhaiterait découvrir plus avant ce mastodonte du metal dans son élément naturel : la scène.
 

« Live!! + One » (1980)
Cet EP ne contient que 3 morceaux “en direct” (en complément y figure la reprise de SKYHOOKS, "Women In Uniform") et se veut le premier témoignage live du groupe. Enregistré le 4 juillet 1980 au Marquee Club de Londres en Angleterre, IRON MAIDEN dévoile toute la puissance de sa musique avec l’impeccable "Phantom Of The Opera" comme point d’orgue. Seul hic, il est destiné uniquement au marché japonais que le groupe veut investir, ce qu’il fera avec succès dès la tournée suivante et l’album « Killers » (1981). Pour les collectionneurs, il est indispensable et les plus acharnés se procureront bien sûr la mispress edition où est inscrite au verso “Play Roud” au lieu de “Play Loud” sur la version normale. Une édition grecque a vu le jour en 1986, contenant cette fois 9 titres, dont 5 live supplémentaires, et c’est aussi l’unique fois où le guitariste Dennis Stratton apparaît sur une sortie vinyle live.


« Maiden Japan » (1981)
A l’inverse du précédent, ce mini-album est cette fois enregistré au Japon et destiné au monde entier. Capté à Nagoya le 23 mai 1981, il ne contient que quatre morceaux, cinq pour l’édition canadienne ou US cependant, avec l’ajout de "Wrathchild". Une bien piètre pitance pour les affamés que nous sommes mais fut une époque, lointaine et révolue les concernant, où les bandes des concerts de MAIDEN étaient détournées par des bootleggers (cliquez ici pour accéder à l’article en quatre parties éclairant sur les meilleurs bootlegs du groupe disponibles) et le public pouvait ensuite se les procurer grâce à un réseau d’échange de cassettes audio. C’est le cas ici puisque la version complète du show est disponible aisément sur internet (et quel concert !). « Maiden Japan » est le deuxième et dernier disque live où l’on entend le chanteur Paul Di’Anno, se voulant excellent sur "Killers" et l’EP donne l’occasion de découvrir alors le récemment introduit Adrian Smith à la guitare. Autre avantage du disque rendant son achat obligatoire, il ne contient que des titres différents du précédent « Live!! + One ».


« Live After Death » (1985)
« Girls girls girls ! » chantait MÖTLEY CRÜE, un groupe ayant assuré la première partie de MAIDEN sur certaines dates du “World Slavery Tour”, d’où est tiré ce disque. Mais ce double « Live After Death » nous ferait plutôt chanter : « Culte culte culte ! » tant il est incontournable et est considéré comme l’un des meilleurs albums live de tous les temps par l’ensemble de la confrérie metal professionnelle, la presse spécialisée et par les fans du groupe. C’est bien simple, la formation est alors une machine de guerre qui, tel Genghis Khan, conquiert tous les pays par lesquels elle passe. Enregistré au Long Beach Arena de Los Angeles les 14, 15, 16 et 17 mars 1985, ainsi qu’à l’Hammersmith Odeon de Londres les 8, 9, 10 et 12 octobre 1984 pour la quatrième face du disque, il ne recèle que des moments forts et il est presque impossible d’en dégager quelques-uns en particulier. On essaie quand même ? "Aces High" et son ouverture devenue mythique avec le “Churchill’s Speech”, "22 Acacia Avenue", "Flight Of Icarus" (il faudra attendre ensuite près de trente ans pour l’entendre à nouveau), ou bien le doublé "Powerslave" et l’épique "Rime Of The Ancient Mariner". Pour l’anecdote, le batteur Nicko McBrain avoua une fois être parti de derrière son kit pour aller piquer une tête dans une piscine située juste derrière la salle lors du break de la chanson. Au menu, 17 versions live qui se bonifient avec l’âge. S’il ne devait en rester qu’un…


« Maiden England » (1989)
En 1988, IRON MAIDEN sort son album-phare, « Seventh Son Of A Seventh Son », et entame une tournée dans la foulée qui voit le groupe une fois encore se surpasser avec des décors scéniques impressionnants. Soufflant le feu sur scène alors que les éléments du décor sont de glace (du moins en apparence), nous avons ici affaire à un live sorti une première fois au format simple VHS avant d’être réédité en 1994 avec un CD dans le même boîtier (place disponible sur le disque oblige, certains titres passent à la trappe). C’est Steve Harris qui, pour la première fois, se charge du montage vidéo et qui, ma foi, s’en sort plutôt bien. Faisant la part belle à sa nouvelle réalisation, la Vierge de Fer enchaîne les morceaux de bravoure tels "Moonchild", où le chanteur Bruce Dickinson se montre impérial, et "Infinite Dreams", un titre qui se verra finalement écarté après avoir été envisagé pour la tournée “Somewhere Back In Time” de 2008-2009 à la demande du chanteur, qui ne peut plus lui rendre totalement justice en concert. On y retrouve aussi pour notre plus grand plaisir "Still Life" (plus jamais rejouée ensuite) ainsi que "Die With Your Boots On" tirées de l’album « Piece Of Mind », cette dernière ne ressortant des cartons que bien des années plus tard.


« A Real Live One » (1993)
Le groupe se séparant de son chanteur (bien que ce soit plutôt l’inverse dans les faits), IRON MAIDEN en profite pour donner une dernière tournée en sa compagnie et sort deux volumes distincts (celui-ci est cependant enregistré à partir des bandes de concerts de la tournée “Fear Of The Dark” effectuée en 1992), se concentrant chacun sur une période précise. « A Real Live One » s’occupe des morceaux récents parus entre 1986 et 1992 et confirme que même les nouvelles chansons sont des classiques instantanés. Enregistré sur une multitude de dates, on s’attardera sur "Afraid To Shoot Strangers" (rejouée en 2012 et 2013, puis remplacée en 2014 par "Revelations" sur la tournée “Maiden England World Tour”), "Bring Your Daughter… To The Slaughter" et, surtout, "Wasting Love", capté à la Grande Halle de la Villette le 5 septembre 1992 où l’on apprend que « l’amour, ce n’est pas seulement un homme "fuck" une amie, non ce n’est pas » (sic). Un insert glissé dans le CD permet aux fans de deviner la pochette du second volume, la majorité du visuel étant barré d’un énorme « CENSORED » et précisant « Coming Soon! ».


« A Real Dead One » (1993)
En effet, quelques mois seulement séparent ce second volume du premier et ce dernier tend à revisiter les “vieux” morceaux du groupe, de 1980 à 1984. Il est enregistré cette fois sur la tournée d’adieu (heureusement que l’avenir fera qu’il en sera tout autrement) qui passe, pour la France, par l’Elysée-Montmartre devant une poignée d’heureux détenteurs du sésame pour y rentrer. La version de "2 Minutes To Midnight" qu’on retrouve ici et donnée lors de ce show parisien, est nerveuse au possible et prouve le caractère exceptionnel du show, y amenant une tension plus ressentie depuis longtemps. Ne faisant l’impasse que sur l’album « Killers » (snif !), on se console avec pas moins de 6 chansons sur 8 extraites de l’éponyme « Iron Maiden », premier album de la bande, dont un inespéré "Transylvania" instrumental capté à Essen en Allemagne et "Prowler", jouée ici à Rome. En 1998, IRON MAIDEN réédite ces deux disques en un seul, logiquement nommé « A Real Live Dead One ».


« Live At Donington » (1993)
Jamais deux sans trois selon l’adage et, toujours en 1993 paraît, avec deux pochettes différentes (une pour le CD, l'autre pour le vinyle), « Live At Donington », un double album enregistré sur une unique date cette fois lors de la seconde apparition de la Vierge de Fer (après celle de 1988) en tête d’affiche du festival anglais. Le concert a lieu le 22 août 1992 et se veut un mélange des deux lives précédents de par sa set-list. Aux côtés des œuvres intemporelles ("The Number Of The Beast" ou "Hallowed Be Thy Name" par exemple) figurent les plus récentes "Tailgunner" ou bien "From Here To Eternity". Cependant, c’est le titre "Running Free" qui se veut le clou du spectacle, dernier morceau interprété ce soir-là pour lequel IRON MAIDEN convie son ancien guitariste Adrian Smith aux festivités. Décliné également au format vidéo, on y voit H (son surnom) venir humblement sur scène aux côtés de ses ex-compagnons pour un final en beauté. Véritable crève-cœur pour les fans de l’avoir vu quitter le groupe, il a expliqué récemment qu'il était parti parce qu'il n’en pouvait plus et que la vie en tournée l’éloignait d’une existence normale, ce à quoi il aspirait sur le moment. Il précise que ce départ a été salvateur et lui a permis de revenir dans le groupe en 1999 avec un état d’esprit tout autre. C’est Steve Harris qui se charge là encore du montage vidéo, mais le résultat est décrié par les fans, le résultat étant objectivement assez moyen.

  


« Rock In Rio » (2002)
Neuf ans plus tard et après deux albums enregistrés avec le chanteur Blaze Bayley, dont il n’existe aucun enregistrement live officiel complet, hormis quelques titres bonus éparpillés en face B de singles, IRON MAIDEN renaît tel le phénix en ramenant Dickinson et Smith en ses rangs. L’album « Brave New World » rencontrant un succès immense, le périple qui suit ne l’est pas moins et le groupe tournera intensément pour le promouvoir. Tête d’affiche du festival Rock In Rio le 19 janvier 2001, il grave pour la postérité ce concert impressionnant, ne serait-ce que par la foule qu’il y a drainé. Pendant 2 heures, le groupe effectue un véritable travail de sape, éreintant son public et jouant jusqu’au bout de ses forces, lancés dans les batailles sonores mémorables que sont les "Ghost Of The Navigator", "Brave New World", "Dream Of Mirrors", "Blood Brothers", tirées du nouvel album (on en retrouve 6 titres sur ce disque) mais aussi "Sign Of The Cross" et "The Clansman", figurant toutes deux sur les albums de l’ère Bayley, et magnifiées par l’interprétation de Dickinson. Double CD, double VHS et DVD, le fan à tout ce qu’il faut à disposition pour revoir et réécouter à l’envie ce concert incroyable. « Obrigado ! »


« Death On The Road (2005) »
Choisissant désormais presque à chaque fois d’immortaliser les tournées qu’il entreprend, IRON MAIDEN propose en 2005 « Death On The Road », double album enregistré le 24 novembre 2003 à Dortmund au Westfalenhalle. Auparavant, le groupe a donné au printemps une tournée best-of mais c’est celle en support de l’album « Dance Of Death » (2003) que l’on retrouve ici. Si l’on doit choisir quelques titres en priorité, ce sera sur "Paschendale" et "Dance Of Death" que l’on jettera notre dévolu, théâtrales au possible et mettant l’accent sur une scénographie appuyée. Rescapée de l’ère Bayley, "Lord Of The Flies" se voit très bien restituée par son nouvel interprète, un petit cadeau donc pour les adeptes de « X Factor ». Mais c’est avec "Journeyman" que le groupe vient nous surprendre, l’interprétant comme sur l’album en version acoustique. Etonnant mais pas détonnant dans son paysage habituellement électrique, on tient là la vraie prise de risque de ce disque.


« Flight 666 » (2009)
Enregistré aux quatre coins du globe, on reprochera à « Flight 666 » son manque d’homogénéité de par la multitude des dates restituées. Cependant, c’est bien peu de choses en comparaison de la set-list proposée et de la qualité des nouvelles versions. Les spectateurs ayant assisté à cette tournée s’en souviennent encore, c’est un véritable festival pour les retrouvailles scéniques de morceaux tels "Moonchild", "The Clairvoyant", "Heaven Can Wait", "Can I Play With Madness","Powerslave" et, surtout, la magistrale "Rime Of The Ancient Mariner". L’avantage de proposer un album tiré d’une tournée best-of est que les hits se bousculent au portillon. Cerise sur le gâteau, un film retraçant la tournée est projeté en salles et bénéficie d’une sortie vidéo (DVD et Blu-ray). Lors du visionnage, on peut opter pour le concert simple ou bien la version entrecoupée de scènes de vie en tournée avec, notamment, la découverte d’Ed Force One, le Boeing utilisé pour la première fois par le groupe et que pilote comme vous le savez le chanteur Bruce Dickinson.


« En Vivo ! » (2012)
« On oublie tout sous le soleil de Mexico… » Ah non pardonnez-moi, j’ai pris de l’avance car c’est pour le petit dernier, ça. Enregistré à Santiago du Chili le 10 avril 2011, la version vidéo témoigne d’une ferveur sans égale de la part du public sud-américain. Les visions d’une foule gigantesque, qui chante chaque note de chaque chanson pendant 1h45 donne des frissons. Le groupe s’en nourrit et donne une prestation dantesque, où le décor spatial de la scène (en référence à son album « The Final Frontier ») nous en met une fois encore plein les mirettes. Les rampes de lumière en forme d’engins spatiaux, les backdrops constellés d’étoiles nous font voyager loin, du côté de Cosmos 1999, la station spatiale disposée sur scène s’inspirant de cette série des années 70. Côté musique, la version de "The Talisman" sort du lot, Dickinson étant poussé jusque dans ses derniers retranchements afin d’atteindre les plus hautes notes du refrain de cette chanson. La douce "Coming Home" au solo inspiré de Jimi Hendrix et joué par Dave Murray – sur une Gibson Les Paul, faits extrêmement rare pour être souligné – s’insère parfaitement avec le reste des classiques que l’on retrouve bien évidemment avec joie, "Running Free" en tête, et permettant au public de donner de la voix. Vous savez, comme sur « Live After Death ».


« Maiden England ’88 » (2013)
Il est bien dommage qu’IRON MAIDEN ait choisi de ressortir un album déjà paru au lieu de graver la tournée best-of « Maiden England » qui s'était étirée entre 2012 et 2014, les nouvelles versions de cette tournée commémorative étant excellentes et ayant bénéficié d’une scénographie revisitée al gusto del dia. MAIDEN propose cependant l’intégralité du concert donné au NEC de Birmingham, y incluant cette fois le rappel composé de "Run To The Hills", "Running Free" et "Sanctuary". Le DVD est complet lui aussi bien qu’un simple transfert des anciennes bandes vidéo ait été fait, sans prendre le soin de restaurer un peu mieux l’image d’époque. Pour die-hard fans seulement.


« The Book Of Souls – Live Chapter » (2017)
La France n’a eu droit qu’à une seule date pour cette tournée, donnée dans le cadre de la première édition française du Download Festival à Paris le 10 juin 2016. L’album « The Book Of Souls » est bien sûr mis en avant et les versions de "If Eternity Should Fail", "Speed Of Light" ou "The Book Of Souls" sont grandioses. De retour en piste, on est heureux de pouvoir réentendre "Children Of The Damned", "Powerslave", mais aussi "Blood Brothers" et un final qui nous fait rendre les armes sur "Wasted Years". Le groupe tournera encore l’année suivante en effectuant deux modifications, l’adjonction de "The Great Unknown" (présente sur ce live) et permute entre "Tears Of A Clown" et "Wrathchild". On y entend un Bruce Dickinson en grande forme après s’être remis d’un cancer, bien qu’il peine un peu sur certaines intonations. On ne saurait l’en blâmer bien sûr d’autant qu’il s’adonne toujours à un véritable marathon sur scène, sautant de partout et courant sans presque jamais s’arrêter. Une tournée qu’on pourrait qualifier de retour inattendu au vu des circonstances et qu’on salue bien bas pour l’ampleur de celle-ci. « Up the irons! ».


Les suppléments :

« Raising Hell »(1994)
Le 28 août 1993, IRON MAIDEN investit les studios anglais de Pinewood pour ce qui sera le dernier concert de Bruce avec le groupe avant 6 ans. En compagnie du magicien Simon Drake, le groupe donne une prestation entrecoupée qui nous fait ressentir une certaine gêne. On sait que le torchon a presque entièrement brûlé entre le chanteur et Steve Harris (le batteur Nicko McBrain n’en pensant pas moins dans la presse) et l’on assiste à des tours de magie calés entres les chansons. La set-list est la même que celle de la tournée “Fear Of The Dark” que l’on retrouve sur le « Live At Donington », bien qu’agencée un peu différemment pour le tournage de cette vidéo (le format CD a été mis de côté). Le sourire forcé des musiciens se ressent à l’écran et les tours de magie, macabres bien entendu, sont kitsch, surtout vus avec le recul. Heureusement qu’une pointe d’humour noir (anglais, évidemment) se fasse sentir lorsque Bruce Dickinson “meurt” à la fin du morceau "Iron Maiden" en étant enfermé dans l’instrument de torture auquel le groupe a emprunté son nom. Quant à ce qu’on entend, le manque d’enthousiasme des musiciens – qui feignent d’être enjoués – fait que l’on n’y retrouve pas le nôtre. Et ce qui aurait pu être un joli cadeau de départ pour les fans se veut à l’arrivée une mauvaise blague.


« Beast Over Hammersmith » (2002)
Attention, pépite ! Officiel mais uniquement disponible dans le coffret « Eddie’s Archives » (2002), composé de trois double CD (ainsi que quelques goodies dans une superbe boîte en métal bosselé), « Beast Over Hammersmith » propose pour la première fois le concert donné le 20 mars 1982 à Londres. Les morceaux joués, au nombre de 18, sont autant de joyaux que l’on peut écouter. Bruce Dickinson donne avec le groupe ses premiers concerts, ils jouent à domicile et la fureur qui s’en dégage nous laisse pantois. La hargne que l’on peut entendre de la part du chanteur sur "Wrathchild" ou "Killers", les notes qu’il atteint sur "Children Of The Damned" n’ont plus été égalées ensuite et c’est bien dommage. On retrouve avec joie des vieilleries qui, à l’époque, n’en étaient pas, "Another Life", "Killers", "Drifter" (des chansons qu’on entendra de nouveau lors de la tournée best-of de 2005), mais aussi, surprise, "Total Eclipse", un titre présent en face B uniquement. Pour couronner le tout, c’est un plaisir d’avoir enfin un concert complet alors que le regretté Clive Burr faisait encore partie du groupe. A noter que dans le coffret « Eddie’s Archives » figure un autre double CD intitulé « BBC Archives » contenant notamment des extraits des concerts donnés au festival de Reading en 1980, 1982 et Donington 1988.

Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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