Joe Bonamassa a annoncé la sortie prochaine de son tout nouvel album studio « Time Clocks », prévue le 29 octobre. « Time Clocks » est un témoignage de son talent et une friandise à ses fans de longue date. Son nouveau son a une saveur brute et vitale, combinée à une compétence résolue qui ne peut être acquise qu'au cours d'années de persévérance et de dévouement sans faille. C'est Joe Bonamassa à son meilleur niveau, prêt à faire bouger les choses. « Ce qui a commencé avec l'intention d'être un disque en trio s'est transformé en mon disque le plus aventureux et le plus impliqué à ce jour », explique le guitariste/chanteur. Son producteur depuis de nombreuses années, Kevin Shirley, ajoute : « Je pense que Joe Bonamassa a fait un album qui est vraiment transitoire. Il est passé du statut de musicien de blues à celui d'artiste superstar, et je suis ravi d'être de la partie. » Joe et Kevin ont fait appel au légendaire Bob Clearmountain pour mixer les chansons épiques, et Bob déclare que c'est l'un des meilleurs albums qu'il a pu mixer depuis des années. « Joe n'est pas seulement l'un des meilleurs guitaristes de blues et de rock de notre époque, c'est aussi un brillant auteur-compositeur, et cela apparaît de manière impressionnante sur ce disque. »
Enregistré à New York, l'album redécouvre un Bonamassa au sommet de sa forme, avec des chansons sincères et des prouesses de blues-rock inégalées. « Time Clocks » suit l'évolution constante de Joe, qui continue à aller de l'avant, à détourner les genres, à abattre les murs et à défier les obstacles de l'industrie musicale. Il est connu comme "l'homme au costume", aimé par beaucoup comme le héros ultime de la guitare, cité par les critiques comme "le plus grand guitariste de blues du monde" par Guitar World.
Track-listing de « Time Clocks » :
01. Pilgrimage
02. Notches
03. The Heart That Never Waits
04. Time Clocks
05. Questions And Answers
06. Mind's Eye
07. Curtain Call
08. The Loyal Kind
09. Hanging On A Loser
10. Known Unknowns
Pour cet album, Bonamassa s'est rendu en studio avec Kevin Shirley, en tant que producteur, et Roy Weisman, son manager, en tant que producteur exécutif. L'album a été enregistré aux Germano Studios/The Hit Factory et mixé donc par Bob Clearmountain (Bruce Springsteen, THE ROLLING STONES, TOTO, BON JOVI...), et le groupe qui l'accompagne est composé de Steve Mackey à la basse, Lachy Doley au piano, Bunna Lawrie au didgeridoo, Bobby Summerfield aux percussions, et Anton Fig de Late Night with David Letterman à la batterie et percussions, ainsi que Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Prinnie Stevens aux chœurs.
L'illustration de l'album a été créée par le célèbre graphiste Hugh Syme, connue pour avoir réalisé des pochettes d'albums pour RUSH, AEROSMITH ou encore WHITESNAKE.
Revenant sur l'enregistrement durant la COVID-19 et sur l'intention initiale de l'album, Bonamassa a déclaré qu'il y a vingt ans, il a enregistré un disque de reprises qui s'est finalement appelé « Blues Deluxe ». « Il a été enregistré au studio de Bobby Nathan à Manhattan. Il a capté une énergie et un objectif qui m'ont toujours marqué en tant qu'artiste. Je vivais à New York à l'époque et les temps étaient plutôt durs. Ma routine hebdomadaire était une combinaison de sessions, de concerts et d'opportunités qui semblaient peu nombreuses et espacées. J'avais faim. Au sens propre comme au sens figuré. L'industrie de la musique est dure, très dure. Surtout à l'époque où les grands labels tiraient toutes les ficelles et, dans mon cas, tous les coups étaient permis. Je subsistais grâce à un régime de base composé de beurre de cacahuète, de gelée et de nouilles, achetés à la bodega au coin de la 83e et de Columbus Avenue... »
En 2019, il était de retour à New York et la ville l'a inspiré à nouveau. « Mes conditions de vie avaient radicalement changé au cours des 20 années suivantes, mais l'énergie qui fait la grandeur de New York était toujours là. En février 2021, nous nous sommes retrouvés aux studios Germano, à enregistrer de la musique en trio, mais pas pour être de la musique jouée en trio, et à devoir inventer des moyens de faire des disques lorsque votre producteur de toujours est coincé en Australie en raison de restrictions de déplacement. Kevin Shirley a trouvé un moyen de relier les continents et les consoles de manière à obtenir une latence littéralement nulle. Ajoutez Steve Mackey et Anton Fig au mixage, quelques masques et des jurons et vous obtenez le ''New York Record'' alias « Time Clocks » »
