Après avoir parcouru en cinq productions les années 2010 avec SYD KULT et un passage en instrumental avec OUTSIDER l’an dernier, Cyril Delaunay-Artifoni renaît de ses cendres avec BRASCA. Ce nouveau projet, nécessaire pour son auteur, marque un nouvel état d’esprit, plus accrocheur. S’il est toujours empreint de mélancolie, un élan libérateur se substitue à la noirceur de ses premières réalisations. BRASCA souffle sur l’auditeur un vent optimiste, ou plutôt une brise amère, car si les thèmes des huit chansons de l’album sont toujours lourds de sens, les mélodies se veulent plus douces et les guitares plus présentes et aériennes.
Pour le premier album à venir, Cyril, touche-à-tout, s’est chargé de la production, des voix, des guitares et des claviers, et a été accompagné par plusieurs musiciens additionnels pour l'enregistrement des autres instruments. « Bloodline » sortira le 8 décembre et sera précédé de deux singles accompagnés de clips, dont le 1er "Burning Sky" sortira demain vendredi 20 octobre et à découvrir en avant-première pour les lecteurs de HARD FORCE ci-dessous.
A propos du clip de "Burning Sky", vous allez pouvoir suivre deux personnages indépendants liés par un destin commun se situant entre perdition, folie ambiante et chaos à travers leurs addictions. Le feu y est un fil conducteur, symbole consumant l’âme et ravivant les maux du passé mais surtout libérateur. Le groupe joue dans un bâtiment industriel à l’ancrage ouvrier marqué, lieu central d’un des personnages principaux. Le clip est réalisé par Sébastien Antoine (SOVIET SUPREM, MARS RED SKY et SYD KULT notamment) avec Matthieu Budin à l’image. Il a été tourné en partie à l’usine de la Clouterie Rivierre à Creil. Les comédiens sont Marie Valentin et Jean-Philippe Goudroye.
« "Burning Sky" est un titre sombre empreint d’un certain nihilisme. Les paroles renvoient à l’autodestruction, aux addictions, ou encore au rapport ambivalent entretenu par l’observateur d’un monde à la dérive. Première chanson à être composée pour l’album, son tempo enlevé et sa structure entre rock, metal et punk se terminent dans un rythme frénétique. Antoine Monnier à la batterie et Lucie Gaget (WITCHORIOUS) à la basse sont les musiciens de studio invités sur ce titre. », a commenté Cyril Delaunay-Artifoni.
