Alors que les fans attendent avec impatience la sortie du 16e album studio de DESTRUCTION, « Birth Of Malice », prévue pour le 7 mars chez Napalm Records, les Allemandes présentent aujourd'hui le single "Scumbag Human Race", 3e extrait du disque. Sur ce titre, Schmier s'insurge contre la corruption et la tromperie de l'humanité. Le refrain agit comme un appel à la prise de conscience alors que le groupe crache sa fureur sur ceux qui exploitent et manipulent. Un titre thrash foudroyant et qui résonnera avec tous ceux qui en ont marre de l'état du monde.
« Le 3e single "Scumbag Human Race" est un marteau-pilon sans pitié ! Son groove et son énergie implacables vous poussent tout droit vers la fosse ! Ce sera un morceau intense en live et ce riff peut facilement vous faire fondre ! Les paroles sont métaphoriques : comment cette planète nous appellerait-elle si elle pouvait parler ? Et que nous dirait-elle ? Bien... Réveillez-vous, bordel ! Scumbag Human Race !!!! », a commenté le groupe DESTRUCTION à propos du nouveau single dont la vidéo est à voir plus bas...
Sur « Birth Of Malice », Schmier combine à nouveau sa double attaque voix/basse avec les riffs fracassants des guitaristes Martin Furia et Damir Eskić, tandis que Randy Black fait exploser une batterie percutante vers de nouveaux sommets. Comme en témoigne son précédent album « Diabolical » en 2022, DESTRUCTION revient avec un son brutal unique, délivrant des chansons impitoyables avec un peu plus de variété et de groove cette fois-ci. Les 12 chansons frappent par un son direct et propre - résultant en des hymnes métalliques addictifs pour une nouvelle génération de thrashers !
Track-listing de « Birth Of Malice » :
01. Birth Of Malice
02. Destruction
03. Cyber Warfare
04. No Kings - No Masters
05. Scumbag Human Race
06. God Of Gore
07. A.N.G.S.T.
08. Dealer Of Death
09. Evil Never Sleeps
10. Chains Of Sorrow
11. Greed
12. Fast As A Shark
De nombreux fans de thrash vénèrent DESTRUCTION comme parmi les plus grands noms du genre avec plus de 40 ans de carrière ! En tant que membre du légendaire Teutonic 4 aux côtés de SODOM, TANKARD et KREATOR, le groupe DESTRUCTION s'est forgé un héritage qui a été capturé par les réalisateurs allemands Denise Dörne et Ilija Jelusic, les créateurs d'un documentaire passionnant sur les projets de DESTRUCTION de réunir le Teutonic 4 pour une tournée mondiale. Mais dans la poursuite de ce rêve, le destin frappe.
Le film suit Schmier et son groupe de près alors que la pandémie frappe, puis un reset total suite à la tournure fatale des événements. Il a été tourné sur une période de cinq ans, ce qui a permis d'obtenir des documents exclusifs qui le distinguent des documentaires traditionnels à base d'interviews. Le spectateur découvre les protagonistes dans des atmosphères proches des coulisses, les plongeant dans l'univers de DESTRUCTION. Le film montre sans compromis ce que signifie être un musicien de heavy metal - des scènes de petits clubs moites aux immenses en plein air - permettant une vision authentique du cœur de l'un des groupes les plus incontestablement importants, influents et défiant les genres du thrash metal. La première projection du film aura lieu à Berlin le 6 mars en présence du groupe et des réalisateurs.
« Ce documentaire n'est pas un clip musical joyeux, mais une histoire très sérieuse sur la passion et la vie. Je n'aurais jamais pu imaginer, dans mes rêves les plus fous, que notre idée puisse être aussi bien réalisée, même si tout a été complètement chamboulé par les circonstances, déclare Denise Dörner. J'ai pu jeter un coup d'œil dans les coulisses, voyager avec DESTRUCTION et éprouver de l'empathie pour eux. J'ai rencontré mes idoles et de nombreuses personnes intéressantes, et j'ai ressenti toute la gamme des émotions. Je suis très impatiente de voir ce que les gens vont penser et ressentir à propos de ce voyage. »
Ilija Jelusic ajoute qu'en tant que membre de l'équipe de tournage, ils ont eu une très bonne relation avec Schmier et DESTRUCTION, qui leur ont fait confiance. « Le film a été réalisé sans commande et sans financement. Cela signifie que nous avons dû tout financer nous-mêmes, ce qui comportait un risque important. Pendant la pandémie, aucun d'entre nous ne savait ce qui se passerait ensuite et où irait l'histoire du film. Bien sûr, ce fut une période très émouvante pour les cinéastes que nous sommes. Puis les aventures se sont succédé et nous nous sommes soudain retrouvés au Mexique. Je suis profondément reconnaissant des expériences que nous avons pu vivre grâce à DESTRUCTION ! »
