12 janvier 2016, 8:57

“Fast” Eddie Clarke n’était pas présent aux obsèques de Lemmy

Il s’en explique

Beaucoup d'hommages, mais aussi, en musique de fond, beaucoup de fausses polémiques reprochant à certaines grandes figures de MOTÖRHEAD d'avoir brillé par leur absence aux obsèques de Lemmy. Phil Campbell aura été sous le feu des critiques, comme nous en parlions hier, et celui-ci a été obligé de se justifier. A moindre degré, sans doute parce qu’il a quitté le Bombardier en 1982, celle de “Fast” Eddie Clarke a surpris. Le guitariste s’en est expliqué sur sa page Facebook.

« Je me suis peu exprimé ces derniers temps… Je n’ai pas pu avoir de visa pour me rendre aux obsèques de Lemmy. J’ai commis des péchés dans le passé, ce qui signifie qu'il me faut davantage de temps pour en obtenir un et comme c’était l’époque de Noël, le délai était trop bref…
J’ai suivi la diffusion en direct sur Internet. Tout le monde a été parfait. Todd (Singerman, le manager du groupe) a fait un travail extraordinaire en tant que maître de cérémonie. Paul, son fils, a fait un discours magnifique et Mikkey Dee n’a pas eu à rougir de passer après lui. Tout ça m’a rappelé à quel point Lemmy était un grand homme et à quel point il vivait pour la musique, MOTÖRHEAD et les fans. J’ai été heureux de voir la photo de l’ancienne formation avec Phil (Taylor) au milieu. C’était le bon temps et ils me manquent tous les deux.
J’espère que vous avez apprécié la cérémonie autant que moi. C’était très triste mais le message est passé.
Repose en paix, mon vieil ami. ».
 


Quant à Brian “Robbo” Robertson, qui remplaça “Fast” Eddie de 1982 à 1983 au sein de MOTÖRHEAD, il ne s'est à notre connaissance pas exprimé.

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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1 commentaire

User
titi tutu
le 12 janv. 2016 à 19:51
Querelles stériles qui ne feront pas revenir Lemmy.<br />
Il restera les témoignages des présents et la conscience des absents, peut-être devant YouTube, comme moi
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