1 mai 2016, 12:27

BRITISH LION

Steve Harris parle du futur du groupe


Dans une récente interview accordée à The Brag, un journal australien, Steve Harris, bassiste d’IRON MAIDEN, évoque le futur concernant BRITISH LION. Son autre groupe a sorti un seul et unique album éponyme en 2012 et est parti en tournée à deux reprises, jouant à chaque fois uniquement dans des salles de petite capacité mais pleines à craquer à chaque passage, l’occasion étant trop belle pour passer à côté de l’opportunité de voir Steve Harris jouer à quelques mètres de ses fans plutôt que de loin lors des concerts qu’il donne avec MAIDEN.

Ainsi, il a expliqué que BRITISH LION n’avait pas l’intention de s’en tenir à un seul album, bien au contraire. Il dit également qu’il apprécie de jouer dans de petits clubs et que l’entente avec ses musiciens est très bonne. Steve apprécie par ailleurs l’ambiance de ces petites tournées et le fait de voyager en bus, comme cela a été le cas de nombreuses années avec IRON MAIDEN, avant de passer à un moyen de transport plus luxueux et pratique sur des tournées mondiales, en particulier à bord de Ed Force One, le Boeing 747 piloté par Bruce Dickinson. D’autres albums et tournées sont donc prévus. Toujours dans de petites salles mais peu importe, indique-t-il, le plaisir de jouer étant bel et bien là, que ce soit dans ces salles ou bien lors de (très) grosses configurations avec MAIDEN.

Il précise d’ailleurs que c’est le chemin qu’a suivi IRON MAIDEN à ses débuts. Des clubs et puis des salles plus importantes pour finir par les plus grandes salles et stades du monde entier. On sait que Steve Harris a pour priorité IRON MAIDEN mais le groupe finira tôt ou tard par raccrocher ou du moins fortement ralentir son activité, ce qui lui permettra alors de continuer à exercer son activité de musicien au sein de BRITISH LION.
 

Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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