15 février 2021, 18:00

IRON MAIDEN

• Le groupe lève le voile sur l'album "Powerslave"


Le 12 février s’est tenue sur Twitter une session d’écoute de « Powerslave », album d’IRON MAIDEN sorti en septrembre 1984, organisée dans le cadre de l’émission Tim Twitter’s Listening Party du musicien Tim Burgess. Le principe était le suivant : chaque personne devait, au top départ de l’animateur, lancer l’album chez lui, en vinyle, K7, CD ou en streaming en même temps que tout le monde. L’intérêt premier était que le groupe au complet était au rendez-vous pour livrer au fil de l’écoute des chansons de l’album, leurs sentiments, souvenirs et anecdotes à son sujet. Alors, suivez-nous pour une immersion en compagnie d’IRON MAIDEN dans les profondeurs d'un album ayant marqué la carrière du groupe, la tournée qui a suivi la parution du disque, immortalisée sur un double-album live, considéré comme l’un des meilleurs jamais sortis, « Live After Death ».


 

"Aces High''

Steve Harris : « L’entendre là, sans l’intro ''Churchill’s Speech'', ça fait un peu bizarre, elle aurait pu y figurer d’ailleurs. Les gens l’ont entendue tellement de fois en concert avec l’intro que c’en est devenu une obligation ! »
Janick Gers : « Ça file toujours des frissons de jouer ce morceau sur scène, comme une explosion de puissance à l’entrée de n’importe quel concert de MAIDEN. Concis, droit au but et renfermant la puissance du groupe en live. Sans oublier un super thème. »

''2 Minutes To Midnight''

Bruce Dickinson : « On a écrit ce titre sur l’Île de Jersey, un trou à rats où l’on a été enfermés en janvier et février, avec un froid de canard et les vents venant de l’Atlantique qui nous fouettaient quand nous étions dehors. Nous sommes descendus dans un hôtel réservé au groupe, “confinés” entre nous, bien que le bar soit resté ouvert et que c’était gratuit. Un truc plutôt inquiétant… J’avais lu ce bouquin de Michael Herr, Dispatches (NDR : roman paru en 1977 et sorti en France sous le nom Putain de Mort et dont Apocalypse Now est l’adaptation cinématographique). C’est une histoire courte, mais absolument incroyable. Et il y a une phrase du texte qui se retrouve telle quelle dans la chanson : « Blood is freedom’s stain » (Traduction : « Le sang est la tache de la liberté »). C’est un Général américain qui a dit ça. »
Bruce Dickinson : « La chanson traite de la gloire de la guerre ainsi que du désespoir l’engendrant et sa futilité. Cela fait ressortir le meilleur de l’Homme mais aussi la lie de l’humanité de façon exacerbée. »
Adrian Smith : « J’ai commencé à bosser dessus à Jersey. J’avais quasiment écrit toute la musique et Bruce a terminé d’écrire les paroles à Nassau aux Bahamas. Je me souviens d’ailleurs qu’AC/DC prenait possession des lieux juste après nous (NDR : aux studios Compass Point). Bruce est tombé presque nez à nez avec leur chanteur Brian Johnson et nous lui avons fait écouter une version non mixée. »
Janick Gers : « Une autre chanson fantastique à interpréter sur scène, beaucoup de groove, une ouverture excitante avec cette guitare qui rugit lors du riff jusqu’à ce que tout le groupe rentre dedans et que la chanson démarre vraiment. Super partie au milieu avant que le refrain reprenne. »

''Losfer Words (Big 'Orra) ''

Steve Harris : « C’est un peu une plaisanterie ce morceau. Parce qu’on n’arrivait pas à lui trouver des paroles, nous étions « Losfer Words » (NDR : jeu de mots avec « lost for words » signifiant « les mots me manquent » et « losfer words », mots manquants). »
Tim Burgess : « Comme le disait Bruce, l’album a été composé sur l’Ile de Jersey. Nous avons demandé aux boys ce dont ils se souviennent. »
Dave Murray : « Un super endroit. Nous avons loué tout un hôtel pour nous afin d’y rester un moment. C’était une petite île paisible… enfin, jusqu’à ce que nous y arrivions ! »
Adrian Smith : « Pour vous faire une idée, repensez au film Shining, mais avec des amplis et des guitares. »
Steve Harris : « Nous étions censés y être pour écrire. J’ai bien dit “censés” parce que les deux premières semaines environ, nous avons fini dans un drôle d’état. Nous avions l’hôtel pour nous tous seuls et un bar ouvert 24 heures sur 24… T’es un peu obligé dans ces cas-là de t’imprégner de l’atmosphère, non ? »
Bruce Dickinson : « Il n’y avait qu’un téléviseur en tout et pour tout, pas d’Internet à l’époque et tout ce que nous pouvions y faire, c'était picoler, jouer au football, se les geler dehors avec ce froid de canard et ce vent, écrire et jouer de la musique jour et nuit. »

"Flash Of The Blade"

Adrian Smith : « Un peu oubliée celle-là. J’ai failli devenir dingue avec les parties additionnelles de guitare. » (NDR: amusant de souligner qu’ici, “oubliée” se dit “overlooked” et qu’Adrian ait mentionné juste avant le roman Shining de Stephen King, l’hôtel s’y nommant l’Overlook)
Dave Murray : « Nous sommes allés l’enregistrer aux studios Compass Point, c’était la deuxième fois que nous y allions. J’ai adoré le studio, la vibration du lieu et l’environnement de paradis tropical. »
Steve Harris : « C’était un endroit avec une grande vibration, vraiment. Je veux dire par là que j’ai tellement aimé l’endroit que j’ai fini par m’y installer. J’ai toujours pensé qu’un jour, j’aimerais y retourner et y vivre… J’étais raide dingue de l’endroit. La vie insulaire n’est pas faite pour tous, mais je crois qu’on y a passé un bon moment tous ensemble. »
Nicko McBrain : « Ils avaient un délicieux Daiquiri banane au bar et de très bons beignets de conque. C’est après le cinquième cocktail que j’ai ressenti l’envie de plonger dans la mer et de nager un peu. C’était un océan déchaîné avec de très grosses vagues ! »
Steve Harris : « En tant que studio, une partie de l’équipement était affreux. Et lorsque nous y sommes retournés pour l’enregistrement de « The Final Frontier » (2010), les choses étaient en l’état ! Tout, les cuisines, la table de billard mais en pire bien sûr. Ah, nostalgie quand tu nous tiens… »
Adrian Smith : « Nous avons enregistré un titre par jour environ et ensuite, chacun notre tour pour les parties additionnelles. »

"The Duellists"

Bruce Dickinson : « Celui qui a été en charge de chorégraphier les combats dans le film Les Duellistes s’appelait Bill Hobbs (NDR: film réalisé par Ridley Scott en 1977 avec Harvey Keitel notamment). Il a fondé un club d’escrime qui s’appelait le Swash and Buckle, un club où j’ai pratiqué. C’était un type adorable qui a écrit un livre-référence sur le sujet. Il a rendu le film sauvage et brutal. »
Tim Burgess : « C’était la quatrième collaboration du producteur Martin Birch, décédé en 2020, et le groupe garde de grands souvenirs de lui. »
Steve Harris : « On s’est bien amusés à bosser avec Martin. C’était un vrai personnage et il avait un grand talent dans son domaine, il avait une sorte de charme et un grand sens de l’humour (NDR : ceinture noire en karaté, il est arrivé à Martin Birch, après quelques verres, de faire la démonstration de ses aptitudes en plein studio, forçant les techniciens à faire de leur mieux pour qu’il n’envoie pas valser d’un coup de pied mal ajusté les instruments du groupe). C’était aussi un grand capitaine de vaisseau si vous préférez, il avait ce sens inné du commandement en lui. Il avait le don d’obtenir de vous ce qu’il voulait ou ce qui était nécessaire sans que vous ne vous rendiez compte de quoi que ce soit. Il devait avoir un truc, ce n’est pas possible autrement. »
Dave Murray : « Un homme brillant qui ajoutait de la magie aux enregistrements, qui savait toujours ressentir le moment où il avait capturé l’esprit d’une chanson. »
Adrian Smith : « Martin avait une grande éthique de travail et il ne quittait pas le studio pendant des semaines. Puis il sortait un soir afin d’évacuer la pression et on ne le revoyait pas ensuite pendant plusieurs jours... »
Steve Harris : « Il avait un sacré tempérament les jours off. Il n’y en a pas eu tant que ça car il travaillait d’arrache-pied et vous y contraignait aussi. J’étais également presque tout le temps en studio, mais j’ai pu m’en dépêtrer parfois… Les jours off justement, si nous étions à la piscine, il passait et poussait tout le monde à l’eau, juste comme ça. Voilà d’où vient le surnom de « Pool Bully » (NDR : « Bourrin de la piscine ») dans les crédits. »

"Back In The Village"

Bruce Dickinson : « Un renvoi à la chanson "The Prisoner" (NDR : sur l’album « The Number Of The Beast » en 1982). Une sorte de chute psychédélique à travers le temps, dans un monde où quelqu’un se retrouve transporté dans le passé et où il devient de nouveau un prisonnier, « de retour dans le village » (NDR : traduction du titre de la chanson).
Tim Burgess : « Durant l’été 1984, le groupe entame la monstrueuse tournée “World Slavery Tour”, passant plus d’un an sur la route. »
Steve Harris : « Je ne crois pas que l’on ait réalisé sur le moment ce dans quoi nous allions nous embarquer. Lorsque tu découvres la scène pour la première fois, tu ne sais pas vraiment à quoi t’attendre, quel sera le rendu et d’un coup, tu hallucines. C’était juste « WOW ! » ,vraiment. C’est quelque chose d’énorme à accomplir et pour le rendre massif à cette échelle, que le rendu fasse vrai n’est pas chose facile mais le résultat a été plus que satisfaisant. La scène entière était impressionnante et conçue pour un rendu en 3D, même dans des salles de moyenne capacité. Après une longue période en tournée à travers différents pays et salles, tu as besoin de t’y sentir à l’aise et en cela, elle a parfaitement rempli son rôle. C’était notre première tournée en tête d’affiche aux Etats-Unis et cela a consolidé notre relation avec les Américains. Nous avons joué dans tant d’endroits où nous n’avions pas eu la possibilité de nous rendre auparavant. On a passé des mois seuls aux USA et jouer dans des endroits où aucun autre groupe n’allait, nous avons vraiment repoussé les limites. »
Tim Burgess : « Un des grands moments de cette tournée fut le concert donné à la première édition du festival Rock In Rio en 1985 devant plus de 250 000 spectateurs. »
Steve Harris : « Si je me souviens bien, nous étions juste prévus à l’affiche. On n’y accordait pas plus d’importance que cela, nous ne jouions pas en tête d’affiche. C’était QUEEN qui s’en chargeait, ce qui était fantastique. J’adore tous leurs premiers albums, alors partager l’affiche avec eux fut un honneur. »
Adrian Smith : « Nos loges jouxtaient les leurs. Je les ai entendus s’échauffer a capella sur "Bohemian Rhapsody" avant qu’ils n’entrent en scène. »
Dave Murray : « Nicko et moi avons grimpé sur l’échelle afin d’atteindre le haut des rampes d'éclairage. Et là encore, tu n’arrivais pas à distinguer jusqu’où allait le public… Impressionnant. »

"Powerslave"

Bruce Dickinson : « Il y a un message ironique dans "Powerslave". Lorsque tu as tous ces amplis alimentant un gigantesque système de sonorisation, tu as ceux qui engendrent uniquement le courant et rien d’autre, ce sont eux que l’on appelle des amplis esclaves parce qu’ils ne sont que des esclaves au pouvoir du grand amplificateur… « Powerslaves ! » Et l’ironie de la chose ne m’est pas réservée car avec ce planning de tournée de dingue, nous aussi le sommes devenus pratiquement en tant que musiciens. Peut être étions-nous des esclaves au pouvoir de la mort ! (NDR : « slaves to the power of death », phrase tirée de la chanson) Je ne voulais pas faire une allusion aussi directe et l’Egypte semblait être un endroit intéressant vers lequel orienter les choses car malgré tout son pouvoir, Pharaon allait quand même mourir. C’est presque comme si tout ce que nous vivions s’y référait et que tout le monde allait y rester aussi. »
Steve Harris : « Il me semble que Bruce avait deux-trois trucs différents qui ont fini par devenir "Powerslave" et je lui ai dit : « Mais pourquoi ne les rassembles-tu pas afin d’en faire une super chanson ? ». Je ne sais pas s’il s’en souvient ainsi, en tout cas moi, c’est comme ça que je me le rappelle ! »

Adrian Smith : « Lorsque j’ai enregistré le solo pour ce morceau, le musicien Robert Palmer se trouvait dans le studio avec Martin et moi. Robert habitait à proximité du studio (NDR : dans son livre Monsters Of River & Rock, Adrian raconte que la nuit précédente, Martin Birch et lui étaient sortis et avaient bu un certain nombre de verres avant que le guitariste ne rende les armes et aille se coucher. Très tôt dans la matinée, un coup de fil réveilla Adrian qui avait une sérieuse gueule de bois. Le producteur lui demanda de venir immédiatement au studio afin d’enregistrer. Quelle ne fut pas sa surprise de voir en arrivant que Robert Palmer était là, en robe de chambre un verre à la main et qu’ils avaient passé le reste de la nuit à continuer de boire ensemble. N’écoutant que son courage et malgré la pression, Adrian enregistra trois prises du solo. La première prise, que vous pouvez écouter sur l’album, a été la bonne). »
Janick Gers : « Une sacrée chanson ! Extrêmement puissante en live, particulièrement lorsque jouée à trois guitares, ce qui la rend encore plus heavy. L’interaction entre les différentes harmonies de guitares donne un rendu terrible et l’interprétation live lui confère toujours une atmosphère incroyable partout où nous la jouons. »
Steve Harris : « “Powerslave” est vraiment un titre et un sujet solides et ça tombait sous le sens de l’utiliser pour le nom de l’album. Il fait naître toute sorte d’imagerie. Cela nous a également inspiré pour ce que nous allions faire sur scène. »
Bruce Dickinson : « Une de mes pochettes préférées, tous groupes confondus peut-être, mais de MAIDEN assurément. C’est un classique et cela nous a inspirés pour de nombreuses performances scéniques. C’est comme l’Egypte ancienne : c’est éternel et éternellement intéressant ! »
Steve Harris : « L’illustration de la pochette a définitivement passé l’épreuve du temps, aucun doute à ce sujet. Mais c’était presque obligé, Derek Riggs (NDR: illustrateur historique du groupe de 1980 à 1990) devant faire le maximum afin que le rendu ne soit pas médiocre. Je ne suis peut-être pas très objectif, mais je pense vraiment que la pochette est fantastique. Sur un album, vous pouvez avoir énormément de sujets différents. Mais il y a toujours quelque chose de supérieur qui s’en dégage et crée un feeling. Nous avons toujours travaillé de cette manière et dans ce sens. C’est pourquoi beaucoup de personnes pensent que nos albums sont des concept-albums. »

''Rime Of The Ancient Mariner''

Steve Harris : « Ce titre a été écrit aux Bahamas. J’avais une ébauche d’idée, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. Je n’avais pas réussi à concrétiser avant de quitter Jersey et j’avais l’impression que j’allais échouer aux examens en quelque sorte parce que j’avais “Headmaster Birch” avec moi ! » (NDR : Headmaster, c'est le Directeur ou le Proviseur)
Bruce Dickinson : « Steve s’est enfermé dans sa chambre pendant des lustres. Puis il est arrivé un jour et a dit : « J’ai une chanson, elle s’appelle “Rime Of The Ancient Mariner”. J’en ai eu la mâchoire qui s'est décrochée et je lui ai dit : « Quoi ? Le poème de Samuel Taylor Coleridge ?! ». »
Steve Harris : « C’était un poème que j’ai étudié en cours, avec des tonnes de strophes, et on a dû en faire un synopsis pour élaguer et en faire une chanson. Il y a tellement de gens qui m’ont dit plus tard que cette chanson les a aidés à passer leur examen sur ce poème que j’en suis ravi. »
Bruce Dickinson : « Sur notre flipper MAIDEN (auquel j’ai atteint un score de 368 millions), il y a le Mariner multiballes où tu dois arriver à tirer dans la tombe du Pharaon, puis à dégommer l’albatros. Tu as une voix de femme qui dit : « Non, j’ai dit dégomme l’oiseau ! Dégomme l’oiseau ! ». Comme j’avais l’habitude de le dire sur scène à l’époque, voilà ce qu’il ne faut pas faire si un oiseau te chie dessus ! »
Dave Murray : « J’adore la jouer sur scène. Elle contient tout ce qui fait l’identité du groupe. »
Janick Gers : « Une super chanson à jouer en live. Elle a ce truc progressif en elle et tu dois t’accrocher pour vraiment bien la jouer. C’est très compliqué, mais extrêmement gratifiant d’y arriver, elle a une telle puissance, plein d’éléments et d’effets théâtraux. Palpitant ! »
Steve Harris : « Je me souviens que Rod Smallwood, notre manager, était énervé à cause de cette chanson. Mais ça ne m’a pas autant dérangé à sa conception que lui à l’arrivée par contre ! Il a probablement dû passer quelques nuits blanches suite à ça. Moi pas en revanche ! C’est toujours épineux lorsque tu reviens en arrière et revisite quelque chose, tout en essayant de faire aussi bien que ce dont les gens se souviennent. La première fois que l’on découvre quelque chose, c'est toujours particulier, unique. Cela a été difficile de la refaire, mais je crois qu’on ne s’en est pas trop mal tirés. L’idée était qu’une grande majorité était un peu passée à côté, tous les fans qui n’étaient pas là à cette époque. On l’a fait pour eux. Je l’ai dit, on a fait du mieux qu’on pouvait. » (Ndr : la deuxième partie de réponse de Steve Harris se réfère à la tournée “Somewhere Back In Time” entre 2008 et 2009, au cours de laquelle ce morceau est réapparu sur la set-list).

Retrouvez l'article Please Professor Maiden, teach me!, détaillant toutes les références culturelles de l'album « Powerslave » en cliquant sur ce lien.
 

Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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