
Le groupe HEADKEYZ originaire de Montpellier, s'est formé en 2021. L'année suivante il sort son premier album « The Cage & The Crown: Chapter I », et impose son empreinte à la croisée du rock alternatif des années 90, du nu-metal du début des années 2000 et du rock fuzzy des florissantes années 70.

C’est le récit dystopique à la sauce 90’s de l’avant fin, de ce silence tendu, ce bruit sourd et grave grossissant, se propageant avant l’effondrement final. « Un message énervé et engagé sur la place de l’Homme, ce super-prédateur, prisonnier de la cage qu’il s’est lui-même construite. C’est l’histoire de son égoïsme, de sa bêtise et de sa chute. Notre histoire. » a commenté le groupe.
Le vinyle en édition limitée a été masterisé à Los Angeles par le légendaire Howie Weinberg (NIRVANA, Jeff Buckley, DEFTONES...) et la version standard par Jean-Pierre Chalbos au Studio La Source à Paris.
Dès sa sortie, l'album a conquis la presse et HEADKEYZ a depuis fait ses armes sur scène et joué aux cotés d’artistes comme Marco Mendoza, Dino Jelusic ou encore BUKOWSKI.
HEADKEYZ a récemment signé pour deux synchronisations avec la société The Mill (Technicolor Creative Studios) : "2023 Beauty Reel" / "Bunny Saves Christmas" (Duracell).
Le groupe retournera en studio en cette année pour préparer son retour avec un nouvel album intitulé « The Cage & The Crown: Chapter II ».
Ci-dessous, la vidéo présentant ''Ctrl+Z", une plongée introspective, un songe hypnotique et envoûtant. Sa conception évolutive et instrumentale en fait une œuvre atmosphérique impactante, qui n’a nulle besoin d’images. Incisif et percutant. Épidermique et déchirant. Tandis que "Big Bad World" qui le suit, est un cri du cœur enragé et engagé, témoin d'un monde en bout de course.
Ce clip de "Big Bad World" (intégrant donc l'interlude ''Ctrl+Z") vient donc clôturer définitivement le premier album du groupe dans un court métrage sombre et atmosphérique. Il est la suite directe des deux précédents clips "Killing God" et "Passenger". On y retrouve la créature emblématique, incarnée par Fiona Medjahed, poursuivant son périple dans cet univers monochrome propre à HEADKEYZ.
Les paroles de "Big Bad World" décrivent cette capacité incontrôlable qu’a l’Homme à tout détruire, pensant bâtir un temple doré à son image, sa couronne d’égoïsme. Ce titre est un cri de rage et de dégoût envers l’humanité. "Big Bad World" décrit cette honte parfois, de faire partie de l’espèce humaine.
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