23 juillet 2018, 8:23

TOP ÉTÉ 2018

• Par Jérôme Sérignac

Aoûtiens, qu’allez-vous écouter ? Depuis le début de l’année (et même un peu avant...), il y a eu du lourd ! Mon classement par ordre alphabétique et pas de jaloux…


BEHEMOTH : « Messe Noire »
Les Polonais drivés par Nergal interprètent l’intégralité de l’album culte, « The Satanist » sur scène. La puissance alliée à la vibration du live. Un must.
 


BLACK LABEL SOCIETY : « Grimmest Hits »
Des hits ? Oui oui, il y en a (et des pinchs aussi bien sûr). C’est qu’il a bien bûché le bûcheron… « TIMBER ! »
 


Joe Satriani : « What Happens Next »
Parce que cela vaut tous les discours : Joe Satriani + Glenn Hughes + Chad Smith. « What else? ».
 


KINGDOM COME : « Kingdom Come » (réédition)
Si les bonus de cette réédition ne sont pas le principal, les dix titres de 1988 se suffisent à eux-mêmes en venant jouer parfois sur les terres de LED ZEPPELIN et avec ce premier disque, un classique.
 


MADBALL : « For The Cause »
30 minutes pour la cause hardcore. Quand le propos est concis, le résultat n’en est que plus direct. Et ça fait « bim dans ta face ! ».
 


MEGADETH : « Killing Is My Business... And Business Is Good - The Final Kill »
Mé-co-nnai-sa-ble ! Le réenregistrement du premier album de MEGADETH permet de le découvrir dans les plus infimes détails sonores. Une seule question : pourquoi avoir attendu tout ce temps pour le faire ?
 


OVERKILL : « Live In Overhausen »
Les New-Yorkais revisitaient en 2016 deux albums, « Horrorscope » et « Feel The Fire », en les interprétants en entier au Rock Hard Festival teuton. 21 titres et un ''Fuck You'' final jubilatoire.
 


TREMONTI : « A Dying Machine »
L’album qui me voit adhérer totalement à l’univers de Mark Tremonti, et de l'avis des aficionados, c’est le plus abouti.
 


W.A.S.P. : « ReIdolized (The Soundtrack To The Crimson Idol) »
Blackie Lawless
revisite de fond en comble son classique de 1992, « The Crimson Idol », pour un lifting que lui-même doit envier ! Il tourne en boucle depuis fin 2017...
 


Ziggy Marley : « Rebellion Rises »
A l’aube de ses 50 ans, l’aîné de la fratrie signe un album à la limite du sans-faute, riddims estivaux et basse chaloupée accompagnant celui dont la voix affiche un mimétisme saisissant avec celle de son illustre géniteur.
 

Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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