
C’est en plein confinement 2021 que HEADKEYZ, groupe de rock/metal alternatif originaire de Montpellier, voit le jour sous l’impulsion de son frontman, Edge (Adrien Girard). Le projet puise son ADN dans les riffs abrasifs du rock alternatif des années 90, la rage du nu-metal des années 2000 et les vibrations fuzzy et psychédéliques des 70’s. En 2022 sort « The Cage & The Crown: Chapter I », premier volet d’un diptyque sombre et viscéral, masterisé à Los Angeles par Howie Weinberg (NIRVANA, DEFTONES, THE SMASHING PUMPKINS...).
HEADKEYZ prépare aujourd’hui son grand retour avec le puissant et féroce second album « The Cage &The Crown: Chapter II », prévu pour janvier 2026. Ce nouvel album, engagé et enragé, vient clore ce récit tendu, porté par une énergie brute et une plume à vif. Le groupe poursuit sa descente dans les limbes, peignant d’un noir profond le tableau d’un monde ayant atteint son point de rupture. Quand la course aveugle vers la couronne devient notre propre cage.
Mixé par Thibault Akrich et masterisé par Jean-Pierre Chalbos au studio La Source Mastering (GOJIRA, SHAKA PONK, KO KO MO...), ce 2e chapitre est bien plus qu’un album, c’est un cri surgissant du chaos. En 2025, HEADKEYZ rejoint le roster de Rage Tour et assurera la première partie du groupe ULTRA VOMIT. A son tour, Yamaha Music repère le groupe, donnant naissance à une collaboration ambitieuse. Cette même année, la guitariste Stella Cristi, au jeu incisif et magnétique, rejoint le projet.
HEADKEYZ a sorti "Intoxicated" fin mai, un premier extrait de ce nouvel album. Aujourd'hui, le groupe partage "Viking", un nouveau single qui présente le choc entre la fuzz poussiéreuse de THE BLACK KEYS, la tension brute de DEAD POET SOCIETY et une rythmique massive à la RADIOACTIVE. Une marche, un combat intérieur pour briser l’armure. À écouter fort. Très fort. Un titre puissant, masterisé à Los Angeles par Emerson Mancini (LINKIN PARK, PARAMORE...), accompagné d’un clip à voir ci-dessous, signé Bastien Sablé, connu pour son travail avec notamment ASHEN. Premier volet d’une trilogie visuelle sombre et introspective.
"Viking" s’impose donc comme le reflet déformé de "Killing God". On y découvre Fiona (interprétée par Fiona Medjahed), une jeune femme recluse dans un appartement lugubre, coupée du monde... et d’elle-même. Rongée par une perte, par quelque chose qu’on ne voit pas mais qui la consume. Quand un personnage inquiétant surgit chez elle, la frontière entre la réalité et la psychose se fissure. Fiona entame sa descente dans les ténèbres... ou peut-être une confrontation avec la vérité.