18 novembre 2020, 17:00

Explication de Textes

• METALLICA : "Ride The Lightning"


Le 27 juillet 1984 sortait « Ride The Lightning », second album de METALLICA. Arrivé en France dans une livrée verte au lieu de bleue, il conforte la position de fers de lance du thrash des Californiens et inaugure le début d’un règne qui perdure presque 40 ans plus tard. Tout a été dit, ou presque, sur ses morceaux, mais qu’en est-il des sujets abordés dans ses textes ? Dissection…
 

Sorti tout juste un an après « Kill 'Em All », qui a fait l'effet d'une onde de choc dans le paysage métallique, « Ride The Lightning » marque non seulement une véritable évolution musicale par rapport à son prédécesseur, mais également un net changement au niveau des textes. Après les lyrics clichesques de leur carte de visite, James Hetfield, qui écrit toujours à la première personne, oscille désormais entre sujets "basiques" ("Trapped Under Ice", "Escape") et sérieux ("Fight Fire With Fire", "For Whom The Bell Tolls", "Fade To Black", "Creeping Death") – avec une fascination évidente pour la mort dont il est question dans six des sept morceaux (le huitième étant un instrumental).

Mais comme le dira Lars Ulrich, le batteur, en 2003 à l'occasion de l'émission Icon que MTV consacrera à METALLICA« A l'époque, c'était un sujet qui nous obsédait, James et moi. » Un avant-goût aussi sombre que prometteur des thèmes qu'il abordera sur « Master Of Puppets », son successeur et pierre angulaire de la discographie des quatre hommes, dont les lyrics ont été décryptés ici
Comme avec les précédents albums passés en revue, dont vous trouverez la liste à la fin de l’article, cette rubrique s’intéresse uniquement au contenu de ses textes. Suivez le guide...


"Fight Fire With Fire"
En 1984, la guerre froide qui oppose les USA à l'URSS monte d'un cran quand de nouvelles tensions entraînent la course à l'armement nucléaire, avec les menaces sous-jacentes de Troisième Guerre mondiale et d'apocalypse qui pourraient en résulter (« Blow the universe, into nothingness/ Nuclear warfare shall lay us to rest », « Faites sauter l'univers, transformez-le en néant/ La guerre nucléaire nous enterrera tous »). Un sujet que l'on retrouvera la même année dans "2 Minutes To Midnight" d'IRON MAIDEN (« Powerslave »), "Some Heads Are Gonna Roll" de JUDAS PRIEST (« Defenders Of The Faith »), "Between The Wheels" de RUSH (« Grace Under Pressure ») et "Crossfire" de SCORPIONS (« Love At First Sting »), pour ne citer qu'eux...

Hetfield craint en effet qu'en cas d'escalade du conflit, les deux camps aient recours aux armes de destruction massive et que la loi du Talion prime – « Do unto others as they've done to you », « Fais aux autres ce qu'il t'ont fait ». Soit le contraire de la Règle d'Or de Jésus dans la Bible (Evangile selon Mathieu 7.12) qui dit qu'il faut traiter les autres comme l'on aimerait être traité (« Do unto others as you would have them do unto you »).

Il fait également référence à l'Armageddon (« L'Armageddon est là, comme le disait la prophétie »), mentionné dans L'Apocalypse, dernier livre du Nouveau Testament. Un lieu symbolique où aura lieu le combat final entre le Bien et le Mal quand viendra la fin des temps, et, par extension, un terme employé pour définir une situation à l'issue apocalyptique. « Combattez le feu par le feu/ La fin est proche/ Combattez le feu par le feu/ Crevant de peur/ On va tous mourir ». Combattre le feu par le feu, la violence et la destruction par la violence et la destruction est un combat perdu d'avance qui ne peut avoir qu'une seule issue quand il est question d'armes nucléaires. Le morceau se termine par une explosion… On est tous morts.

En 1988, le chanteur et parolier abordera à nouveau le sujet de la guerre nucléaire de façon plus imagée dans "Blackened" qui ouvre « …And Justice For All ».

Live au Metal Hammer Festival, le 14 septembre 1985


"Ride The Lightning"
Littéralement "chevaucher l'éclair", "ride the lightning" signifie être exécuté sur la chaise électrique. Une expression relevée par Kirk Hammett dans The Stand, roman de Stephen King sorti en 1978 qu'il lisait à l'époque, dans lequel Lloyd Henreid, un des personnages, attend son exécution dans le couloir de la mort. Et que le maître américain du fantastique et de l'horreur emploiera à nouveau des années plus tard dans The Green Mile/La Ligne verte. Le guitariste s'est dit que ce serait un excellent titre de chanson... et le reste du groupe aussi puisqu'il deviendra également celui de leur second album.

Dans ses lyrics, James n'émet aucun avis sur la peine capitale, il raconte l'histoire à travers les yeux d'un condamné, dont on ignore le crime, qui n'arrive pas à réaliser ce qu'il fait là (« Sanglé sur la chaise électrique/ Cela ne peut pas m'arriver/ Qui t'a fait, Dieu, pour dire : "Je prendrai ta vie" ? »). Tétanisé (« Mes doigts s'agrippent de peur/ Qu'est ce que je fais ici ? »), il supplie qu'on lui vienne en aide (« Que quelqu'un m'aide/ Oh s'il te plaît Seigneur, aide-moi, ils veulent me tuer/ Je ne veux pas mourir ») avant de se résigner et de vouloir en finir au plus vite (« Si c'est vrai/ Qu'il en soit ainsi »).
Heureusement, on découvre à la fin qu'il s'agissait d'un cauchemar (« Réveillé par un hurlement horrible/ Libéré de ce rêve effrayant »)...

"Ride The Lightning", extrait du film On Through The Never, sorti en 2013...


 

"For Whom The Bell Tolls"
Inspiré d'un passage de l'un des plus célèbres romans d'Ernest Hemingway, For Whom The Bell Tolls (Pour qui sonne le glas en V.F.), publié en 1940, se déroule pendant la guerre civile espagnole opposant Républicains et Nationalistes, que l'écrivain américain a vécue en tant que correspondant de guerre. Et qui se soldera par la victoire de ces derniers et la dictature franquiste qui durera jusqu'à 1976. Il a été fidèlement adapté sur grand écran en 1943, avec Cary Grant et Ingrid Bergman dans les rôles principaux.

Dans le roman, on suit Robert Jordan, jeune professeur d'espagnol américain, engagé dans les Brigades Internationales pendant la Guerre d'Espagne. Chargé de faire sauter un pont pour empêcher les fascistes de prendre Ségovie, il rejoint des partisans dans la montagne. Une histoire forte où il est question d'héroïsme, d'idéal, mais aussi de la peur de mourir et de l'envie de vivre. Et de l'inanité de la guerre qui transforme certains humains en barbares.

Dans ses lyrics, James s'est concentré sur le passage où cinq hommes – quatre partisans et le héros – qui se sont repliés sur une colline, sont encerclés par les forces ennemies qui disposent de tanks et vont les attaquer par les airs. « Il se bat sur la colline dans le petit matin/ Glacé au plus profond de son être/ Bruit assourdissant des tirs/ Ils courent dans la grisaille sans fin/ Ils continuent à se battre, parce qu'ils ont raison, mais qui peut l'affirmer ? » Par essence, un soldat ou un combattant se bat pour la cause qu'il pense juste, mais tout est évidemment une question de camp et de point de vue. « Pour une colline, des hommes sont prêts à tuer. Pourquoi ? Ils n'en savent rien ». Mortellement blessé, Jordan demande à rester sur place pour ne pas ralentir ses amis et espère pouvoir tuer un ennemi avant de mourir. « Regarde le ciel avant de mourir/ C'est la dernière fois que tu le feras, chante Helfield. Un rugissement noirci et énorme emplit le ciel qui s'effrite/ Son objectif brisé emplit son âme avec un cri impitoyable ». Sa mission a échoué, il ne pourra même pas partir avec le sentiment du devoir accompli.

Le titre du roman en lui-même est une référence à "No Man Is An Island"/"Aucun Homme n'est une île", un très beau poème de l'Anglais John Donne datant de 1624 : « Aucun homme n’est une île, un tout, complet en soi ; tout homme est un fragment du continent, une partie de l’ensemble ; si la mer emporte une motte de terre, l’Europe en est amoindrie, comme si les flots avaient emporté un promontoire, le manoir de tes amis ou le tien ; la mort de tout homme me diminue, parce que j’appartiens au genre humain ; aussi n’envoie jamais demander pour qui sonne le glas : c’est pour toi qu’il sonne. »

Hetfield montrera à nouveau son antimilitarisme dans "Disposable Heroes" (« Master Of Puppets ») et, évidemment, "One" (« ...And Justice For All »).

Extrait de Cliff 'Em All, home-video sortie en 1987 en hommage au grand bassiste décédé le 27 septembre 1986, et depuis rééditée en DVD


"Fade To Black"
La chanson de METALLICA qui a fait fuir les fans de la première heure les plus obtus. Les "puristes". Ceux pour qui les thrashers californiens auraient dû enregistrer ad vita eternam des resucées de « Kill 'Em All ». Pensez : après avoir signé des brise-nuques comme "Hit The Lights" et "Whiplash" sur leur premier album, ou "Fight Fire With Fire", James Hetfield, Lars Ulrich, Cliff Burton et Kirk Hammett commettent l'irréparable à leurs yeux (et surtout leurs oreilles) : une ballade... Enfin, très power, la ballade quand même. Et avec un texte d'une noirceau absolue.

Premier single extrait de l'album, "Fade To Black" (fondu au noir, comme la transition entre deux images ou deux plans, au cinéma, dans lequel l'écran devient progressivement noir) parle à la première personne de quelqu'un qui, dépressif, envisage le suicide (« On dirait que la vie s'éteindra/ En s'éloignant un peu plus chaque jour/ Je suis perdu en moi-même/ Rien ni personne n'a plus d'importance/ J'ai perdu la volonté de vivre/ Je n'ai simplement plus rien à donner/ Il n'y a plus rien pour moi / J'ai besoin de la fin pour être libre »). Avant de passer à l'acte (« Personne d'autre que moi ne peut me sauver, mais c'est trop tard/ Maintenant, je ne peux plus penser... penser, pourquoi même essayer ?/ On dirait qu'hier n'a jamais existé/ La mort m'accueille chaleureusement, maintenant je dirai juste au revoir »).

« J'ai écrit ce texte alors que j'étais chez un ami dans le New Jersey, racontera Hetfield en 1991 à Guitar World. J'étais très déprimé à l'époque parce qu'on s'était fait voler notre matos et qu'on s'était fait virer de chez notre manager pour avoir cassé des trucs et vidé son bar. C'est une chanson qui parle de suicide et elle nous a valu de nombreuses critiques, comme si elle allait pousser les gamins à passer à l'acte. Mais nous avons aussi reçu des centaines de lettres de fans qui nous disaient à quel point la chanson leur parlait et qu'ils se sentaient mieux après l'avoir écoutée. »


 

"Trapped Under Ice"
Cryogénisé, le malheureux qui est "prisonnier sous la glace" s'est réveillé. Personne ne l'entend et il sait qu'il va mourir. On assiste donc à son calvaire « Congelé/ Je ne peux pas du tout bouger/ Je hurle/ Personne ne m'entend/ Je meurs d'envie de vivre/ Je crie/ Je suis prisonnier sous la glace ». D'une certaine façon, on retrouvera cet appel à l'aide que personne n'entend dans l'éprouvant "One" sur « ...And Justice For All ».

La version audio, immortalisée il y a 36 ans tout juste à l'Espace Ballard à Paris, sur le "Bang That Head That Doesn't Bang Tour"...


"Escape"
Composé au dernier moment, en studio, à la demande de la maison de disques qui exigeait un titre supplémentaire sur l'album, "Escape" est sans aucun doute le morceau de leur discographie que les musiciens aiment le moins. La preuve, il leur aura fallu 28 ans pour l'interpréter en live, en juin 2012 à l'occasion de leur Orion + Music Festival. Et encore, uniquement parce qu'ils jouaient l'intégralité de « Ride The Lightning »... « La chanson que nous ne voulions jamais jouer en live – jamais ! – est sur la set-list... On va faire de notre mieux » plaisante James.

Même si l'on entend à la fin des sirènes de police qui laissent supposer qu'il s'agit sans doute de l'histoire d'un prisonnier qui s'est fait la belle, "Escape" peut être également interprété comme une affirmation de soi, le triomphe de l'individualisme et la volonté de ne pas se conformer aux règles et standards imposés par la société ou la famille. Peut-être est-ce en partie autobiographique pour James« Tout seul, pour être libre/ Je suis le seul à penser comme ça, ils ne comprennent pas/ Pas besoin d'entendre ce qu'ils racontent/ C'est ma vie et je la mène comme je l'entends ». Ou encore : « Vous me bourrez le cerveau avec vos soi-disants standards/ Qui a dit que je n'ai pas raison ?/ Laissez tomber votre mode commune/ Je vois à travers votre regard flou ». Le « regard flou » évoquant sans doute celui de gens perdus dans leur routine.


"Creeping Death"
Après avoir parlé des Quatre Cavaliers de l'Apocalypse (Livre de la Révélation, également appelé Apocalypse, dans le Nouveau Testament) dans "The Four Horsemen", qui est également devenu l'un des surnoms des musiciens, James est retourné chercher son inspiration du côté de la Bible. Second single extrait de l'album, qui lui non plus n'aura pas de vidéo puisque le groupe ne sortira son premier clip, pour "One", qu'en janvier 1989, "Creeping Death" est un classique absolu de METALLICA. Et du metal. 

Le chanteur devient l'Ange Exterminateur – la mort rampante – dont il est question dans L'Exode 7-12. Pharaon refusant de libérer le peuple hébreu qu'il a réduit en esclavage (« Maintenant, laisse partir mon peuple, terre de Goshen », une région d'Egypte où ils vivent depuis 400 ans), Yahvé lui envoie les Dix Plaies d'Egypte. Le chanteur cite la première – l'eau qui se change en sang (« Blood running red and strong down the Nile ») ainsi que la neuvième, quand les ténèbres s'abattent sur le pays (« Plague, darkness three days long/ Hail to fire »). Mais après chaque épreuve, Pharaon refuse de tenir parole. Yahvé lui envoie alors la dernière plaie, la plus terrible : la mort de tous les premiers-nés de sexe mâle (y compris les animaux, dit la Bible…), comme l'aîné de Pharaon qui lui succédera sur le trône. La loi du Talion puisque Pharaon avait ordonné des années plus tôt le massacre de chaque premier-né d'Israël, raison pour laquelle sa mère avait jeté à la rivière Moïse, alors bébé, dans une caisse pour qu'il soit sauf.

« Alors que cela soit écrit/ Que cela soit fait/ Je suis envoyé par l'Elu/ Alors que ce soit écrit/ Que cela soit fait/ Pour tuer l'aîné de Pharaon/ Je suis la mort rampante » dit le refrain. Pour que seuls soient frappés les premiers-nés égyptiens, Yahvé ordonne à chaque famille isréalite, par l'intermédiaire de Moïse, l'Elu, de sacrifier le jour de la Pâque juive un agneau dont le sang répandu sur le linteau de la porte de leur maison signalera à l'Ange Exterminateur qu'il doit les épargner (« Je serai bientôt là/ Masse mortelle/ Je rampe dans les escalier et sur le sol/ Ténèbres finales/ Sang. Porte peinte avec du sang d'agneau/ Je passerai »). D'où le pont : « Mourez par ma main/ Je traverse le pays en rampant/ En tuant le premier-né de sexe mâle » et ses « Die ! » que tout fan de METALLICA qui se respecte hurle à s'en faire péter les tympans dès qu'il écoute la chanson.
Moïse conduira alors son peuple hors d'Egypte et traversera la mer Rouge qui s'ouvrira devant eux.

Toujours au Metal Hammer Festival en septembre 1985...


"The Call Of Ktulu"
Au départ baptisé "When Hell Freezes Over" sur la démo de « Ride The Lightning » sortie en 1983, cet instrumental épique deviendra finalement un hommage à Cthulhu, un des Grands Anciens les plus célèbres de la cosmogonie lovecraftienne. Une gigantesque créature tentaculaire qui, dans un sommeil proche de la mort, dort au fond de l'océan dans l'antique cité cyclopéenne de R'liyeh, en attendant le jour où elle pourra à nouveau régner sur Terre après avoir détruit les humains.

C'est Cliff Burton qui a fait découvrir au reste du groupe l'œuvre de l'immense H.P. Lovecraft, dont la lecture a sans doute entraîné le changement de titre en hommage à la nouvelle The Call Of Cthulhu, publiée pour la première fois en 1928 dans le magazine Weird Tales. Si ce n'est que son nom est ici mal orthographié. On peut supposer que le mythe voulant que le prononcer ou l'écrire aurait pour effet de convoquer son propriétaire (me voilà mal barrée…), ils ont choisi, plus comme un clin d'œil que par superstition, de l'écrire phonétiquement. A moins qu'ils n'aient simplifié son écriture pour que les fans puissent le prononcer correctement ("ktoulou" en anglais)...

Dans la nouvelle, un jeune homme découvre dans des documents laissés par son grand-oncle, décédé dans des circonstances mystérieuses, l'existence d'un culte innommable dédié au Grand Ancien. Visions terrifiantes, cité oubliée surgissant des flots dans la tempête… Le retour de Cthulhu est-il proche ? La construction de l'instrumental, qui commence doucement avant de se déchaîner puis de marquer un retour au calme, l'illustre en tout cas parfaitement.

Depuis, Hetfield a consacré deux autres morceaux à la créature : "The Thing That Should Not Be" sur « Master Of Puppets » et "Dream No More" sur « Hardwired... To Self-Destruct ». A noter pour les fans de l'œuvre de l'homme de Providence que François Balanger a illustré magnifiquement L'Appel de Cthulhu (ainsi que Les Montagnes hallucinées en deux tomes), édité aux éditions Bragelone.

Précisons au passage que, comme c'est le dernier titre auquel il avait participé avant de se faire virer de METALLICA peu de temps avant l'enregistrement de « Kill 'Em All », Dave Mustaine a retravaillé l'arpège de "The Call Of Ktulu" sur l'intro de "When", dernier chanson de « The World Needs A Hero » de MEGADETH sorti en 2001. Rappelons qu'à l'origine, le morceau s'appelait "When Hell Freezes Over"... Quant aux paroles, elles pourraient très bien être interprétées comme un message du chanteur/guitariste à son ex-groupe... Mais ceci est une autre histoire.

Avril 1999 : METALLICA fait alliance pour la première fois avec l'orchestre philarmonique de San Francisco, conduit par Michael Kamen, pour « S&M »…


 


​​Les autres explications de textes :
GHOST : « Opus Eponymous »
GUNS N’ ROSES : « Appetite For Destruction »

METALLICA : « Master Of Puppets »
PEARL JAM : « Ten »
QUEENSRŸCHE : « Operation: Mindcrime »
SLAYER : « Decade Of Aggression »

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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